Concertation publique sur le réaménagement et la requalification de la M820
Projet impactant six communes de la Métropole : Toulouse, Fenouillet, Aucamville, Saint Alban, Lespinasse et Saint-Jory.
Supprimer les péages de Lalande et st Jory/Bruguières et les déplacer au nord de Castelnau-d'Estrétefonds
Diversifier les flux de mobilité au nord de Toulouse
Supprimer les péages de Lalande et st Jory/Bruguières et les déplacer au nord de Castelnau-d'Estrétefonds
Les habitants du nord Toulousain subissent une double peine avec l’autoroute A62 qui pénètre dans l’agglomération.
Elle coupe en deux plusieurs communes comme une barrière, sans y être raccordées.
Les automobilistes qui n’ont pas le choix des transports en commun, préfèrent emprunter la RM 820 et les routes secondaires, participant ainsi aux encombrements de nos communes, pour ne pas payer le péage.
La donne à changée avec l'urbanisation intensive du nord Toulousain, il ne devrait pas y avoir de nouveaux projets de constructions sans cohérence “habitat / mobilité”.
Créer des raccordements de communes sur cette autoroute devenant libre accès au niveau d’Aucamville et Saint-Alban.
Il paraît nécessaire de diversifier les flux de mobilité sur ce secteur qui est sinistré au niveau des mobilités.
Avec les pistes cyclables type REV sur la RM 820, éloignées de la circulation à cause de la pollution.
Garder les pistes le long du canal pour les piétons et les cycles loisirs. Aménager un cheminement sur la rive droite du canal en gardant sa verdure et qui ne soit pas grignoté par les travaux de la LGV.
Accélérer les travaux des lignes RER et des gares multimodales.
Mettre en place des cadencements plus nombreux sur les lignes existantes en attendant.
Réaliser le “barreau” entre le rond-point Centaure et Castelginest, pourtant financé par Toulouse Métropole n’a jamais été réalisé.
Le 14 février 2019 Toulouse Métropole décidait le PARM et mettre le BUN en priorité 1, qu’en est-il aujourd’hui ? On se rend compte aujourd’hui que son abandon entraîne une asphyxie générale du secteur. Rien n’a été fait pour le relancer malgré les promesses.
Elle coupe en deux plusieurs communes comme une barrière, sans y être raccordées.
Les automobilistes qui n’ont pas le choix des transports en commun, préfèrent emprunter la RM 820 et les routes secondaires, participant ainsi aux encombrements de nos communes, pour ne pas payer le péage.
La donne à changée avec l'urbanisation intensive du nord Toulousain, il ne devrait pas y avoir de nouveaux projets de constructions sans cohérence “habitat / mobilité”.
Créer des raccordements de communes sur cette autoroute devenant libre accès au niveau d’Aucamville et Saint-Alban.
Il paraît nécessaire de diversifier les flux de mobilité sur ce secteur qui est sinistré au niveau des mobilités.
Avec les pistes cyclables type REV sur la RM 820, éloignées de la circulation à cause de la pollution.
Garder les pistes le long du canal pour les piétons et les cycles loisirs. Aménager un cheminement sur la rive droite du canal en gardant sa verdure et qui ne soit pas grignoté par les travaux de la LGV.
Accélérer les travaux des lignes RER et des gares multimodales.
Mettre en place des cadencements plus nombreux sur les lignes existantes en attendant.
Réaliser le “barreau” entre le rond-point Centaure et Castelginest, pourtant financé par Toulouse Métropole n’a jamais été réalisé.
Le 14 février 2019 Toulouse Métropole décidait le PARM et mettre le BUN en priorité 1, qu’en est-il aujourd’hui ? On se rend compte aujourd’hui que son abandon entraîne une asphyxie générale du secteur. Rien n’a été fait pour le relancer malgré les promesses.
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