Concentration des hauteurs maximum

Lors des différentes réunions publiques, il est fréquemment cité (y compris par des élus) le quartier de Borderouge comme à ne pas reproduire : une partie “montrée en exemple” à l’époque protégée par une OAP où les hauteurs de bâtiments ont été contenues à 3 ou 4 étages + une végétalisation importante (quartier à proximité des jardins du muséum) et une autre partie “décriée” non protégée par une OAP et avec des constructions élevées une végétalisation minimaliste (carré de la Maourines, du Métro Borderouge) Il nous a été fréquemment avancé que l’intérêt d’une OAP permet de préserver de la reproduction de cette deuxième partie. Or si l’on observe la ZAC Paléficat, on voit que les grandes hauteurs (40 mètres/12 étages) sont toutes concentrées au même endroit et que les basses hauteurs sont également toutes regroupées sur un même endroit, à l'opposé l'un de l'autre. A noter que la partie tant décriée de Borderouge ne comprend que des immeubles de maximum 7 étages Donc, à l’intérieur de la ZAC même, va être reproduit ce qu’il s’est passé à Borderouge, en pire puisque les hauteurs maximum seront presque doublées. Cette répartition de hauteurs impacte négativement tout un quartier et positivement tout un autre Un épannelage plus cohérent apporterait plus d’harmonie sur l’ensemble de la ZAC Un réduction des hauteurs maximum éviterait de surpasser ce mauvais exemple si fréquemment cité