Concertation publique pour la requalification de la voie M2

Voie concernant les communes de St Orens-de-Gameville et Toulouse

Changements sur "Non respect du PADD et de la Loi Climat & Résilience "

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+{"fr"=>"Non respect du PADD et de la Loi Climat & Résilience "}

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+["1 / Les images des dossiers sont très peu lisibles, particulièrement la localisation des arbres à abattre, que même à la loupe il est difficile de distinguer !\nCe manque de transparence des institutions publiques est, hélas, devenu une habitude récurrente envers les citoyens. Ce qui nuit grandement à la crédibilité des institutions publiques.\n\n2/ Non respect du PADD et de la Loi Climat & Résilience. \nLa variante 2 doit être revue de sorte qu’une bien plus grande conservation des arbres existants soit faite. En effet alors que le PADD et la loi Climat et Résilience rappellent l’urgence absolue de la conservation du patrimoine végétal déjà en place, le projet présenté prévoit trop d’arbres à abattre !\n \nSéquence 2 : il est impératif de CONSERVER l'ilot de pins. \nRien que le quartier de l’Orée du Bois compte 63 arbres abattus dont 40 pins (cf. carte , jaune pins, rose feuillus). Le préjudice financier pour le quartier et les riverains, selon le Barême de l’arbre, est de plus de 1 200 000 euros !\nL’espèces Pinus Pinea présente, compte tenu de sa résilience à la sécheresse et de son potentiel d’adaptation remarquable aux évolutions climatiques, est une capitalisation judicieuse pour l’avenir en tant que puit de carbone à fort potentiel et régulateur thermique grâce à son large couvert végétal.\n\nChoisir la poursuite de la voie derrière l’immeuble Président afin de conserver les grands arbres à hautes tiges en double alignement (protégées par la loi « Art. L. 350-3.-Les allées d'arbres et alignements d'arbres » ) sur la route de Revel (pins trentenaires + platanes de l’époque Napoléonienne).\n\nCertains points sur le projet sont intolérables compte tenu des DIRECTIVES GOUVERNEMENTALES liées au réchauffement climatique. Il est crucial de modifier le projet afin de conserver ces arbres visés par des abattages massifs : \n\n-\tFace à la clinique de Saint Orens à l’arrêt de bus : un magnifique platane de l’ époque Napoléonienne, sa valeur : 18 540 euros selon l’outil professionnel du Barème de l’Arbre (cf. fiche en fichier joint).\n-\tAncienne gendarmerie : même problème d'abattage\n-\tRue de Gameville : 3 feuillus\n-\tAlinéa : plusieurs arbres \n-\tGendarmerie et lycée: plusieurs arbres chênes et platanes \n-\t Nazan (23 rue des Lauriers) : 7 grands chênes avec tout l’écosystème environnant.\n\nLe préjudice financier (de plusieurs centaines de milliers d'euros) et écologique de ces abattage pour la commune serait énorme.\nIl est impensable dans ce contexte de réchauffement climatique d’abattre ces arbres, ils doivent être conservés et le trajet revu pour une réalisation limitée et respectueuse du patrimoine arboré de la commune, déjà très touchée par les destructions dues aux nombreux chantiers.\n\n=> Le principe de compensation est une arnaque : les jeunes arbres ne remplaceront jamais les arbres adultes dont nous avons besoin immédiatement. Les platanes vivent mille ans, les pins 250 ans. Un manche à balais prunus ou poirier chanticleer (20 de vie dans le meilleur des cas) n’est en aucun cas une « compensation ». \nLa priorité est de ne pas abattre.\n\n3/ Champs agricole nourricier vs Tucard 3\nD. Faure lors de sa campagne électorale a promis d’annuler le chantier Tucard 3 , ce qui a couté 1 million d’euros aux citoyens en dédommagement à l’entrepreneur ! \nIl est urgent de conserver le peu qu’il reste de cette terre agricole nourricière. \nCette zone a déjà été en partie dévastée par la frénésie de béton à outrance qui règne à Saint Orens en chantier perpétuel depuis des années :\n- le bois en bordure du champ été rasé et remplacé par des immeubles à forte densité,\n- une partie du champ également, \n- l’ancienne ferme en briques, ses arbres, ses haies et ses fruitiers récemment rasés pour des immeubles encore.\n\nCette précieuse zone agricole nourricière doit être conservée en vue d’être classé Zone d’Artificialisation Nulle.\n\n4/ La modification de la ligne de bus pénalise grandement les usagers.\nIl serait plus logique/pratique/utile que la L9 qui conduit au centre de Toulouse ait son terminus au lycée.\nL’ancien 78 qui emmenait en centre-ville au château d’eau était tellement plus pratique !\nAucun intérêt du Linéo7. A supprimer ?\n\nLe bilan global de ces projets est que ce site ne sera plus pour les riverains un havre de paix et de nature... pour en plus couter aux contribuables 2,9 millions d’euros. \n\nLes Saint Orennais espèrent que la démocratie participative sera respectée, les concertations récentes ayant hélas montré le peu de cas fait des avis exprimés."]

+["1 / Les images des dossiers sont très peu lisibles, particulièrement la localisation des arbres à abattre, que même à la loupe il est difficile de distinguer !\nCe manque de transparence des institutions publiques est, hélas, devenu une habitude récurrente envers les citoyens. Ce qui nuit grandement à la crédibilité des institutions publiques.\n\n2/ Non respect du PADD et de la Loi Climat & Résilience. \nLa variante 2 doit être revue de sorte qu’une bien plus grande conservation des arbres existants soit faite. En effet alors que le PADD et la loi Climat et Résilience rappellent l’urgence absolue de la conservation du patrimoine végétal déjà en place, le projet présenté prévoit trop d’arbres à abattre !\n \nSéquence 2 : il est impératif de CONSERVER l'ilot de pins. \nRien que le quartier de l’Orée du Bois compte 63 arbres abattus dont 40 pins (cf. carte , jaune pins, rose feuillus). Le préjudice financier pour le quartier et les riverains, selon le Barême de l’arbre, est de plus de 1 200 000 euros !\nL’espèces Pinus Pinea présente, compte tenu de sa résilience à la sécheresse et de son potentiel d’adaptation remarquable aux évolutions climatiques, est une capitalisation judicieuse pour l’avenir en tant que puit de carbone à fort potentiel et régulateur thermique grâce à son large couvert végétal.\n\nChoisir la poursuite de la voie derrière l’immeuble Président afin de conserver les grands arbres à hautes tiges en double alignement (protégées par la loi « Art. L. 350-3.-Les allées d'arbres et alignements d'arbres » ) sur la route de Revel (pins trentenaires + platanes de l’époque Napoléonienne).\n\nCertains points sur le projet sont intolérables compte tenu des DIRECTIVES GOUVERNEMENTALES liées au réchauffement climatique. Il est crucial de modifier le projet afin de conserver ces arbres visés par des abattages massifs : \n\n-\tFace à la clinique de Saint Orens à l’arrêt de bus : un magnifique platane de l’ époque Napoléonienne, sa valeur : 18 540 euros selon l’outil professionnel du Barème de l’Arbre (cf. fiche en fichier joint).\n-\tAncienne gendarmerie : même problème d'abattage\n-\tRue de Gameville : 3 feuillus\n-\tAlinéa : plusieurs arbres \n-\tGendarmerie et lycée: plusieurs arbres chênes et platanes \n-\t Nazan (23 rue des Lauriers) : 7 grands chênes avec tout l’écosystème environnant.\n\nLe préjudice financier (de plusieurs centaines de milliers d'euros) et écologique de ces abattage pour la commune serait énorme.\nIl est impensable dans ce contexte de réchauffement climatique d’abattre ces arbres, ils doivent être conservés et le trajet revu pour une réalisation limitée et respectueuse du patrimoine arboré de la commune, déjà très touchée par les destructions dues aux nombreux chantiers.\n\n=> Le principe de compensation est une arnaque : les jeunes arbres ne remplaceront jamais les arbres adultes dont nous avons besoin immédiatement. Les platanes vivent mille ans, les pins 250 ans. Un manche à balais prunus ou poirier chanticleer (20 de vie dans le meilleur des cas) n’est en aucun cas une « compensation ». \nLa priorité est de ne pas abattre.\n\n3/ Champs agricole nourricier vs Tucard 3\nD. Faure lors de sa campagne électorale a promis d’annuler le chantier Tucard 3 , ce qui a couté 1 million d’euros aux citoyens en dédommagement à l’entrepreneur ! \nIl est urgent de conserver le peu qu’il reste de cette terre agricole nourricière. \nCette zone a déjà été en partie dévastée par la frénésie de béton à outrance qui règne à Saint Orens en chantier perpétuel depuis des années :\n- le bois en bordure du champ été rasé et remplacé par des immeubles à forte densité,\n- une partie du champ également, \n- l’ancienne ferme en briques, ses arbres, ses haies et ses fruitiers récemment rasés pour des immeubles encore.\n\nCette précieuse zone agricole nourricière doit être conservée en vue d’être classé Zone d’Artificialisation Nulle.\n\n4/ La modification de la ligne de bus pénalise grandement les usagers.\nIl serait plus logique/pratique/utile que la L9 qui conduit au centre de Toulouse ait son terminus au lycée.\nL’ancien 78 qui emmenait en centre-ville au château d’eau était tellement plus pratique !\nAucun intérêt du Linéo7. A supprimer ?\n\nLe bilan global de ces projets est que ce site ne sera plus pour les riverains un havre de paix et de nature... pour en plus couter aux contribuables 2,9 millions d’euros. \n\nLes Saint Orennais espèrent que la démocratie participative sera respectée, les concertations récentes ayant hélas montré le peu de cas fait des avis exprimés."]

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+["1 / Les images des dossiers sont très peu lisibles, particulièrement la localisation des arbres à abattre, que même à la loupe il est difficile de distinguer !\nCe manque de transparence des institutions publiques est, hélas, devenu une habitude récurrente envers les citoyens. Ce qui nuit grandement à la crédibilité des institutions publiques.\n\n2/ Non respect du PADD et de la Loi Climat & Résilience. \nLa variante 2 doit être revue de sorte qu’une bien plus grande conservation des arbres existants soit faite. En effet alors que le PADD et la loi Climat et Résilience rappellent l’urgence absolue de la conservation du patrimoine végétal déjà en place, le projet présenté prévoit trop d’arbres à abattre !\n \nSéquence 2 : il est impératif de CONSERVER l'ilot de pins. \nRien que le quartier de l’Orée du Bois compte 63 arbres abattus dont 40 pins (cf. carte , jaune pins, rose feuillus). Le préjudice financier pour le quartier et les riverains, selon le Barême de l’arbre, est de plus de 1 200 000 euros !\nL’espèces Pinus Pinea présente, compte tenu de sa résilience à la sécheresse et de son potentiel d’adaptation remarquable aux évolutions climatiques, est une capitalisation judicieuse pour l’avenir en tant que puit de carbone à fort potentiel et régulateur thermique grâce à son large couvert végétal.\n\nChoisir la poursuite de la voie derrière l’immeuble Président afin de conserver les grands arbres à hautes tiges en double alignement (protégées par la loi « Art. L. 350-3.-Les allées d'arbres et alignements d'arbres » ) sur la route de Revel (pins trentenaires + platanes de l’époque Napoléonienne).\n\nCertains points sur le projet sont intolérables compte tenu des DIRECTIVES GOUVERNEMENTALES liées au réchauffement climatique. Il est crucial de modifier le projet afin de conserver ces arbres visés par des abattages massifs : \n\n-\tFace à la clinique de Saint Orens à l’arrêt de bus : un magnifique platane de l’ époque Napoléonienne, sa valeur : 18 540 euros selon l’outil professionnel du Barème de l’Arbre (cf. fiche en fichier joint).\n-\tAncienne gendarmerie : même problème d'abattage\n-\tRue de Gameville : 3 feuillus\n-\tAlinéa : plusieurs arbres \n-\tGendarmerie et lycée: plusieurs arbres chênes et platanes \n-\t Nazan (23 rue des Lauriers) : 7 grands chênes avec tout l’écosystème environnant.\n\nLe préjudice financier (de plusieurs centaines de milliers d'euros) et écologique de ces abattage pour la commune serait énorme.\nIl est impensable dans ce contexte de réchauffement climatique d’abattre ces arbres, ils doivent être conservés et le trajet revu pour une réalisation limitée et respectueuse du patrimoine arboré de la commune, déjà très touchée par les destructions dues aux nombreux chantiers.\n\n=> Le principe de compensation est une arnaque : les jeunes arbres ne remplaceront jamais les arbres adultes dont nous avons besoin immédiatement. Les platanes vivent mille ans, les pins 250 ans. Un manche à balais prunus ou poirier chanticleer (20 de vie dans le meilleur des cas) n’est en aucun cas une « compensation ». \nLa priorité est de ne pas abattre.\n\n3/ Champs agricole nourricier vs Tucard 3\nD. Faure lors de sa campagne électorale a promis d’annuler le chantier Tucard 3 , ce qui a couté 1 million d’euros aux citoyens en dédommagement à l’entrepreneur ! \nIl est urgent de conserver le peu qu’il reste de cette terre agricole nourricière. \nCette zone a déjà été en partie dévastée par la frénésie de béton à outrance qui règne à Saint Orens en chantier perpétuel depuis des années :\n- le bois en bordure du champ été rasé et remplacé par des immeubles à forte densité,\n- une partie du champ également, \n- l’ancienne ferme en briques, ses arbres, ses haies et ses fruitiers récemment rasés pour des immeubles encore.\n\nCette précieuse zone agricole nourricière doit être conservée en vue d’être classé Zone d’Artificialisation Nulle.\n\n4/ La modification de la ligne de bus pénalise grandement les usagers.\nIl serait plus logique/pratique/utile que la L9 qui conduit au centre de Toulouse ait son terminus au lycée.\nL’ancien 78 qui emmenait en centre-ville au château d’eau était tellement plus pratique !\nAucun intérêt du Linéo7. A supprimer ?\n\nLe bilan global de ces projets est que ce site ne sera plus pour les riverains un havre de paix et de nature... pour en plus couter aux contribuables 2,9 millions d’euros. \n\nLes Saint Orennais espèrent que la démocratie participative sera respectée, les concertations récentes ayant hélas montré le peu de cas fait des avis exprimés."]

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+["1 / Les images des dossiers sont très peu lisibles, particulièrement la localisation des arbres à abattre, que même à la loupe il est difficile de distinguer !\nCe manque de transparence des institutions publiques est, hélas, devenu une habitude récurrente envers les citoyens. Ce qui nuit grandement à la crédibilité des institutions publiques.\n\n2/ Non respect du PADD et de la Loi Climat & Résilience. \nLa variante 2 doit être revue de sorte qu’une bien plus grande conservation des arbres existants soit faite. En effet alors que le PADD et la loi Climat et Résilience rappellent l’urgence absolue de la conservation du patrimoine végétal déjà en place, le projet présenté prévoit trop d’arbres à abattre !\n \nSéquence 2 : il est impératif de CONSERVER l'ilot de pins. \nRien que le quartier de l’Orée du Bois compte 63 arbres abattus dont 40 pins (cf. carte , jaune pins, rose feuillus). Le préjudice financier pour le quartier et les riverains, selon le Barême de l’arbre, est de plus de 1 200 000 euros !\nL’espèces Pinus Pinea présente, compte tenu de sa résilience à la sécheresse et de son potentiel d’adaptation remarquable aux évolutions climatiques, est une capitalisation judicieuse pour l’avenir en tant que puit de carbone à fort potentiel et régulateur thermique grâce à son large couvert végétal.\n\nChoisir la poursuite de la voie derrière l’immeuble Président afin de conserver les grands arbres à hautes tiges en double alignement (protégées par la loi « Art. L. 350-3.-Les allées d'arbres et alignements d'arbres » ) sur la route de Revel (pins trentenaires + platanes de l’époque Napoléonienne).\n\nCertains points sur le projet sont intolérables compte tenu des DIRECTIVES GOUVERNEMENTALES liées au réchauffement climatique. Il est crucial de modifier le projet afin de conserver ces arbres visés par des abattages massifs : \n\n-\tFace à la clinique de Saint Orens à l’arrêt de bus : un magnifique platane de l’ époque Napoléonienne, sa valeur : 18 540 euros selon l’outil professionnel du Barème de l’Arbre (cf. fiche en fichier joint).\n-\tAncienne gendarmerie : même problème d'abattage\n-\tRue de Gameville : 3 feuillus\n-\tAlinéa : plusieurs arbres \n-\tGendarmerie et lycée: plusieurs arbres chênes et platanes \n-\t Nazan (23 rue des Lauriers) : 7 grands chênes avec tout l’écosystème environnant.\n\nLe préjudice financier (de plusieurs centaines de milliers d'euros) et écologique de ces abattage pour la commune serait énorme.\nIl est impensable dans ce contexte de réchauffement climatique d’abattre ces arbres, ils doivent être conservés et le trajet revu pour une réalisation limitée et respectueuse du patrimoine arboré de la commune, déjà très touchée par les destructions dues aux nombreux chantiers.\n\n=> Le principe de compensation est une arnaque : les jeunes arbres ne remplaceront jamais les arbres adultes dont nous avons besoin immédiatement. Les platanes vivent mille ans, les pins 250 ans. Un manche à balais prunus ou poirier chanticleer (20 de vie dans le meilleur des cas) n’est en aucun cas une « compensation ». \nLa priorité est de ne pas abattre.\n\n3/ Champs agricole nourricier vs Tucard 3\nD. Faure lors de sa campagne électorale a promis d’annuler le chantier Tucard 3 , ce qui a couté 1 million d’euros aux citoyens en dédommagement à l’entrepreneur ! \nIl est urgent de conserver le peu qu’il reste de cette terre agricole nourricière. \nCette zone a déjà été en partie dévastée par la frénésie de béton à outrance qui règne à Saint Orens en chantier perpétuel depuis des années :\n- le bois en bordure du champ été rasé et remplacé par des immeubles à forte densité,\n- une partie du champ également, \n- l’ancienne ferme en briques, ses arbres, ses haies et ses fruitiers récemment rasés pour des immeubles encore.\n\nCette précieuse zone agricole nourricière doit être conservée en vue d’être classé Zone d’Artificialisation Nulle.\n\n4/ La modification de la ligne de bus pénalise grandement les usagers.\nIl serait plus logique/pratique/utile que la L9 qui conduit au centre de Toulouse ait son terminus au lycée.\nL’ancien 78 qui emmenait en centre-ville au château d’eau était tellement plus pratique !\nAucun intérêt du Linéo7. A supprimer ?\n\nLe bilan global de ces projets est que ce site ne sera plus pour les riverains un havre de paix et de nature... pour en plus couter aux contribuables 2,9 millions d’euros. \n\nLes Saint Orennais espèrent que la démocratie participative sera respectée, les concertations récentes ayant hélas montré le peu de cas fait des avis exprimés."]

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Auteur de la version

RiveSaintO

Version créée le 11/06/2023 01:42