Concertation publique pour la requalification de la voie M2

Voie concernant les communes de St Orens-de-Gameville et Toulouse

Changements sur "Changer de doctrine d'aménagement pour les pistes cyclables"

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  • +["C'est une très bonne chose d'aménager conjointement les Linéo et le REV sur et enfin proposer des mobilités autre que la voiture sur cet axe. \n\n\nCependant, au vu des plans, les mêmes erreurs semblent continuer à être faites sur les aménagements cyclables de la métropole. Sur l'ensemble du tracé, les pistes cyclables sont sur le trottoir, malgré les multiples retours d'expérience des piétons et cyclistes sur le caractère inefficace et même contre-productif de ce choix.\n\n\nLes mêmes situations se retrouvent sur toutes les voies avec piste sur trottoir : les piétons n'identifient pas la piste, et ce même si elle est de couleur différente, entrainant des conflits avec les cyclistes qui doivent les sonner ou contourner par le trottoir. Alors que le code de la rue est en développement dans la métropole, ces aménagements sur trottoir ne font que légitimer les cyclistes à rouler sur les trottoirs en pensant être dans leur bon droit, ce qui augmente encore les conflits d'usage.\n\n\nLa disposition des pistes sur les trottoirs amène également une rupture de niveau à chaque intersection, avec des bordures plus ou moins hautes à franchir, en devant généralement zigzaguer entre les poteaux, nécessaires malheureusement, mais souvent placés en plein milieu de la trajectoire cyclable. Les trottoirs et les pistes se transforment aussi en montagne russe dès qu'une entrée de parking apparaît, au lieu de laisser le trottoir à niveau et de mettre une bordure franchissable pour les véhicules.\n\n\nSi la piste doit être sur trottoir pour des contraintes techniques ou spatiales, il est impératif de marquer la délimitation avec le trottoir par une différence de niveau, seul moyen avéré de distinguer les espaces. Le CEREMA propose un guide qui détaille toutes les bonnes pratiques.\n\nEnfin, il serait vraiment nécessaire de s'arrêter sur une couleur unique pour les aménagements cyclables de la métropole, car leur multiplication rend très peu lisible le réseau : rouge bordeaux à Toulouse nord, beige à Lespinet, enrobé noir à Blagnac, couleur sable ici...\n\n\nEncore une fois, tout aménagement pour les mobilités autres que la voiture individuelle sur cet axe est une avancée majeure, mais il y a ici l'opportunité de créer un axe cyclable exemplaire pour la métropole, pouvant servir de référence pour le REV en cours de développement, et l'occasion de ne pas répéter les écueils des aménagements toulousains habituels. Pourtant les habitudes semblent commencer à changer, avec les pistes projetées en centre-ville sur la rue de la République et le pont Saint-Pierre, sur voirie et avec une bordure séparatrice, pourquoi ne pas étendre ces bons exemples aux autres quartiers ? \n\n\nDe nombreuses villes françaises ont exclu les pistes sur trottoirs de leurs références, il est temps que Toulouse suive les bons exemples et devienne à son tour une référence."]
  • +["C'est une très bonne chose d'aménager conjointement les Linéo et le REV sur et enfin proposer des mobilités autre que la voiture sur cet axe. \n\n\nCependant, au vu des plans, les mêmes erreurs semblent continuer à être faites sur les aménagements cyclables de la métropole. Sur l'ensemble du tracé, les pistes cyclables sont sur le trottoir, malgré les multiples retours d'expérience des piétons et cyclistes sur le caractère inefficace et même contre-productif de ce choix.\n\n\nLes mêmes situations se retrouvent sur toutes les voies avec piste sur trottoir : les piétons n'identifient pas la piste, et ce même si elle est de couleur différente, entrainant des conflits avec les cyclistes qui doivent les sonner ou contourner par le trottoir. Alors que le code de la rue est en développement dans la métropole, ces aménagements sur trottoir ne font que légitimer les cyclistes à rouler sur les trottoirs en pensant être dans leur bon droit, ce qui augmente encore les conflits d'usage.\n\n\nLa disposition des pistes sur les trottoirs amène également une rupture de niveau à chaque intersection, avec des bordures plus ou moins hautes à franchir, en devant généralement zigzaguer entre les poteaux, nécessaires malheureusement, mais souvent placés en plein milieu de la trajectoire cyclable. Les trottoirs et les pistes se transforment aussi en montagne russe dès qu'une entrée de parking apparaît, au lieu de laisser le trottoir à niveau et de mettre une bordure franchissable pour les véhicules.\n\n\nSi la piste doit être sur trottoir pour des contraintes techniques ou spatiales, il est impératif de marquer la délimitation avec le trottoir par une différence de niveau, seul moyen avéré de distinguer les espaces. Le CEREMA propose un guide qui détaille toutes les bonnes pratiques.\n\nEnfin, il serait vraiment nécessaire de s'arrêter sur une couleur unique pour les aménagements cyclables de la métropole, car leur multiplication rend très peu lisible le réseau : rouge bordeaux à Toulouse nord, beige à Lespinet, enrobé noir à Blagnac, couleur sable ici...\n\n\nEncore une fois, tout aménagement pour les mobilités autres que la voiture individuelle sur cet axe est une avancée majeure, mais il y a ici l'opportunité de créer un axe cyclable exemplaire pour la métropole, pouvant servir de référence pour le REV en cours de développement, et l'occasion de ne pas répéter les écueils des aménagements toulousains habituels. Pourtant les habitudes semblent commencer à changer, avec les pistes projetées en centre-ville sur la rue de la République et le pont Saint-Pierre, sur voirie et avec une bordure séparatrice, pourquoi ne pas étendre ces bons exemples aux autres quartiers ? \n\n\nDe nombreuses villes françaises ont exclu les pistes sur trottoirs de leurs références, il est temps que Toulouse suive les bons exemples et devienne à son tour une référence."]
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  • +["C'est une très bonne chose d'aménager conjointement les Linéo et le REV sur et enfin proposer des mobilités autre que la voiture sur cet axe. \n\n\nCependant, au vu des plans, les mêmes erreurs semblent continuer à être faites sur les aménagements cyclables de la métropole. Sur l'ensemble du tracé, les pistes cyclables sont sur le trottoir, malgré les multiples retours d'expérience des piétons et cyclistes sur le caractère inefficace et même contre-productif de ce choix.\n\n\nLes mêmes situations se retrouvent sur toutes les voies avec piste sur trottoir : les piétons n'identifient pas la piste, et ce même si elle est de couleur différente, entrainant des conflits avec les cyclistes qui doivent les sonner ou contourner par le trottoir. Alors que le code de la rue est en développement dans la métropole, ces aménagements sur trottoir ne font que légitimer les cyclistes à rouler sur les trottoirs en pensant être dans leur bon droit, ce qui augmente encore les conflits d'usage.\n\n\nLa disposition des pistes sur les trottoirs amène également une rupture de niveau à chaque intersection, avec des bordures plus ou moins hautes à franchir, en devant généralement zigzaguer entre les poteaux, nécessaires malheureusement, mais souvent placés en plein milieu de la trajectoire cyclable. Les trottoirs et les pistes se transforment aussi en montagne russe dès qu'une entrée de parking apparaît, au lieu de laisser le trottoir à niveau et de mettre une bordure franchissable pour les véhicules.\n\n\nSi la piste doit être sur trottoir pour des contraintes techniques ou spatiales, il est impératif de marquer la délimitation avec le trottoir par une différence de niveau, seul moyen avéré de distinguer les espaces. Le CEREMA propose un guide qui détaille toutes les bonnes pratiques.\n\nEnfin, il serait vraiment nécessaire de s'arrêter sur une couleur unique pour les aménagements cyclables de la métropole, car leur multiplication rend très peu lisible le réseau : rouge bordeaux à Toulouse nord, beige à Lespinet, enrobé noir à Blagnac, couleur sable ici...\n\n\nEncore une fois, tout aménagement pour les mobilités autres que la voiture individuelle sur cet axe est une avancée majeure, mais il y a ici l'opportunité de créer un axe cyclable exemplaire pour la métropole, pouvant servir de référence pour le REV en cours de développement, et l'occasion de ne pas répéter les écueils des aménagements toulousains habituels. Pourtant les habitudes semblent commencer à changer, avec les pistes projetées en centre-ville sur la rue de la République et le pont Saint-Pierre, sur voirie et avec une bordure séparatrice, pourquoi ne pas étendre ces bons exemples aux autres quartiers ? \n\n\nDe nombreuses villes françaises ont exclu les pistes sur trottoirs de leurs références, il est temps que Toulouse suive les bons exemples et devienne à son tour une référence."]
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  • +["C'est une très bonne chose d'aménager conjointement les Linéo et le REV sur et enfin proposer des mobilités autre que la voiture sur cet axe. \n\n\nCependant, au vu des plans, les mêmes erreurs semblent continuer à être faites sur les aménagements cyclables de la métropole. Sur l'ensemble du tracé, les pistes cyclables sont sur le trottoir, malgré les multiples retours d'expérience des piétons et cyclistes sur le caractère inefficace et même contre-productif de ce choix.\n\n\nLes mêmes situations se retrouvent sur toutes les voies avec piste sur trottoir : les piétons n'identifient pas la piste, et ce même si elle est de couleur différente, entrainant des conflits avec les cyclistes qui doivent les sonner ou contourner par le trottoir. Alors que le code de la rue est en développement dans la métropole, ces aménagements sur trottoir ne font que légitimer les cyclistes à rouler sur les trottoirs en pensant être dans leur bon droit, ce qui augmente encore les conflits d'usage.\n\n\nLa disposition des pistes sur les trottoirs amène également une rupture de niveau à chaque intersection, avec des bordures plus ou moins hautes à franchir, en devant généralement zigzaguer entre les poteaux, nécessaires malheureusement, mais souvent placés en plein milieu de la trajectoire cyclable. Les trottoirs et les pistes se transforment aussi en montagne russe dès qu'une entrée de parking apparaît, au lieu de laisser le trottoir à niveau et de mettre une bordure franchissable pour les véhicules.\n\n\nSi la piste doit être sur trottoir pour des contraintes techniques ou spatiales, il est impératif de marquer la délimitation avec le trottoir par une différence de niveau, seul moyen avéré de distinguer les espaces. Le CEREMA propose un guide qui détaille toutes les bonnes pratiques.\n\nEnfin, il serait vraiment nécessaire de s'arrêter sur une couleur unique pour les aménagements cyclables de la métropole, car leur multiplication rend très peu lisible le réseau : rouge bordeaux à Toulouse nord, beige à Lespinet, enrobé noir à Blagnac, couleur sable ici...\n\n\nEncore une fois, tout aménagement pour les mobilités autres que la voiture individuelle sur cet axe est une avancée majeure, mais il y a ici l'opportunité de créer un axe cyclable exemplaire pour la métropole, pouvant servir de référence pour le REV en cours de développement, et l'occasion de ne pas répéter les écueils des aménagements toulousains habituels. Pourtant les habitudes semblent commencer à changer, avec les pistes projetées en centre-ville sur la rue de la République et le pont Saint-Pierre, sur voirie et avec une bordure séparatrice, pourquoi ne pas étendre ces bons exemples aux autres quartiers ? \n\n\nDe nombreuses villes françaises ont exclu les pistes sur trottoirs de leurs références, il est temps que Toulouse suive les bons exemples et devienne à son tour une référence."]
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Avatar: Squanpy Squanpy
Version créée le 12/05/2023 11:44

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