Mes idées pour mon quartier ! 2021

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Étape 7 sur 7

Réalisation et suivi 30/11/2022 - 31/12/2024

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+{"fr"=>"Toilettes publiques au Jardin du Barry"}

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+["Le Jardin du Barry est un poumon vert pour le quartier Cartoucherie, quartier d’immeubles très denses, ainsi que pour les quartiers alentour. Ce Jardin est appelé à voir de plus en plus d’usagers journaliers, avec les nombreux habitants de l’Ecoquartier Cartoucherie (3 525 logements à terme), habitant quasiment tous en appartement, qui ont besoin de prendre l’air avec leurs enfants, ou qui font du jogging ou promènent leur chien, mais également avec la fréquentation pendant leurs pauses par les étudiants des écoles environnantes, par les salariés des bureaux, y compris pour déjeuner. Ces utilisations du Jardin sont grandissantes à toute période de l’année. \nSans compter les fêtes et rencontres amicales et familiales du week-end et l’utilisation des barbecues entre mai et octobre. Elle sera également accrue à toute époque de l’année, avec l’installation d’un terrain multisports et la réappropriation du Jardin par les habitants.\nCette réappropriation du jardin comme lieu de promenade, de rencontre ou de pratique sportive passe par une meilleure propreté du jardin, qui n’est possible que si des toilettes sont disponibles. En effet, la fréquentation du Jardin est actuellement gâchée par le manque de toilettes publiques (besoin naturel des enfants et des adultes, dès qu’on passe plus d’une heure et demie dans un jardin) et par les toilettes sauvages (avec papier et déjections humaines) qui se sont installées dans tous les recoins du jardin.\nL’installation de toilettes PMR au Jardin du Barry répond à un besoin du quartier et peut bénéficier au plus grand nombre. Elle s'inscrit dans le cadre des actions soutenues par la Mairie de Toulouse pour une ville + verte et + respirable. \n\nLa proposition est plurielle et complémentaire : \n- La demande n°1 concerne l’installation de toilettes publiques autonomes à lombricompostage dans le Jardin du Barry.\nSans ajout de sciure, ces toilettes sont conçues pour être utilisées aucun réseau d’eau ni d’électricité et sans produits chimiques (contribuent à économiser 12 600 000 litres d’eau potable par an).\nLe design sobre et le matériaux bois à l’extérieur permet de bien s'insérer dans l’environnement et l’utilisation ne nécessite aucun gardiennage. Ces toilettes pourraient démocratiser et décomplexer l’utilisation des toilettes dites « sèches ».\nIls s’utilisent comme des toilettes classiques : l’utilisateur appuie sur une pédale pour faire dérouler un tapis incliné.\nAinsi, les matières sont envoyés à l’arrière du bâtiment et sont progressivement transformés en terreau par les lombrics (vers de terre à la fois saprophages - ils consomment des végétaux en décomposition - et coprophages - se nourrissent de matières fécales). Ainsi, il n’y a pas besoin d’ajouter de la sciure ni de la paille, ce qui permet de limiter à une fois tous les 5 à 15 ans l’évacuation des terreaux.\nLe coût de l’exploitation est quasiment nul : 1 intervention par an dans le local technique est nécessaire, la vidange ne s’effectue que rarement.\nEx : en 2020 modèle SANILIGHT à Colomiers - lac du Perget / En 2017 Parc de L’Union comprenant une aire de pique-nique, des terrains de jeux et un stade (www.sanisphere-fr.com)\nBudget : de 21.000 € à 30.000 € selon le soubassement à prévoir.\n- La demande n°2 concerne l’installation d’une sanisette qui se nettoie automatiquement à proximité du jardin du Barry, sur le parking face au jardin du Barry ou rue Suzanne Noel à côté du parking Du Barry.\nL’emplacement à l’extérieur du jardin s’inspire des autres grands jardins toulousains qui n’accueillent pas directement de sanisette dans le jardin mais à proximité dans une rue. \nC'est une dépense d’investissement normalement éligible au budget participatif, les frais de location et d’entretien sont de la compétence de la ville, comme les 63 toilettes publiques déjà installés à Toulouse. Les toilettes étant auto-nettoyants, il n’y a pas beaucoup de nettoyage à prévoir, mais plutôt le remplacement des consommables.\nPour rendre ce système plus écologique, il serait intéressant de remplacer l'eau potable par de l'eau non potable (près du parking par récupération des eaux de pluie / proche du jardin, par l'eau du lac après filtrage).\nBudget : coût d’installation de 10.000 et 20.000 euros la cabine \nLocation 25.000 € annuel\n- Demande n°3 – installation d’urinoirs \nPour résoudre le problème des urines sauvages au Jardin du Barry et transformer cette incivilité en un puissant fertilisant 100 % bio : l’urine est recueillie et valorisée par les plantes dans un massif végétal rempli de Chabazite (roche volcanique).\nLa biomasse du bac, le terrain attenant et les plantes se nourrissent de ce fertilisant d'où une croissance accélérée. \nvoir ECOSEC - http://parisette.coop\nBudget : modèle VESPALITE - budget à préciser"]

+["Le Jardin du Barry est un poumon vert pour le quartier Cartoucherie, quartier d’immeubles très denses, ainsi que pour les quartiers alentour. Ce Jardin est appelé à voir de plus en plus d’usagers journaliers, avec les nombreux habitants de l’Ecoquartier Cartoucherie (3 525 logements à terme), habitant quasiment tous en appartement, qui ont besoin de prendre l’air avec leurs enfants, ou qui font du jogging ou promènent leur chien, mais également avec la fréquentation pendant leurs pauses par les étudiants des écoles environnantes, par les salariés des bureaux, y compris pour déjeuner. Ces utilisations du Jardin sont grandissantes à toute période de l’année. \nSans compter les fêtes et rencontres amicales et familiales du week-end et l’utilisation des barbecues entre mai et octobre. Elle sera également accrue à toute époque de l’année, avec l’installation d’un terrain multisports et la réappropriation du Jardin par les habitants.\nCette réappropriation du jardin comme lieu de promenade, de rencontre ou de pratique sportive passe par une meilleure propreté du jardin, qui n’est possible que si des toilettes sont disponibles. En effet, la fréquentation du Jardin est actuellement gâchée par le manque de toilettes publiques (besoin naturel des enfants et des adultes, dès qu’on passe plus d’une heure et demie dans un jardin) et par les toilettes sauvages (avec papier et déjections humaines) qui se sont installées dans tous les recoins du jardin.\nL’installation de toilettes PMR au Jardin du Barry répond à un besoin du quartier et peut bénéficier au plus grand nombre. Elle s'inscrit dans le cadre des actions soutenues par la Mairie de Toulouse pour une ville + verte et + respirable. \n\nLa proposition est plurielle et complémentaire : \n- La demande n°1 concerne l’installation de toilettes publiques autonomes à lombricompostage dans le Jardin du Barry.\nSans ajout de sciure, ces toilettes sont conçues pour être utilisées aucun réseau d’eau ni d’électricité et sans produits chimiques (contribuent à économiser 12 600 000 litres d’eau potable par an).\nLe design sobre et le matériaux bois à l’extérieur permet de bien s'insérer dans l’environnement et l’utilisation ne nécessite aucun gardiennage. Ces toilettes pourraient démocratiser et décomplexer l’utilisation des toilettes dites « sèches ».\nIls s’utilisent comme des toilettes classiques : l’utilisateur appuie sur une pédale pour faire dérouler un tapis incliné.\nAinsi, les matières sont envoyés à l’arrière du bâtiment et sont progressivement transformés en terreau par les lombrics (vers de terre à la fois saprophages - ils consomment des végétaux en décomposition - et coprophages - se nourrissent de matières fécales). Ainsi, il n’y a pas besoin d’ajouter de la sciure ni de la paille, ce qui permet de limiter à une fois tous les 5 à 15 ans l’évacuation des terreaux.\nLe coût de l’exploitation est quasiment nul : 1 intervention par an dans le local technique est nécessaire, la vidange ne s’effectue que rarement.\nEx : en 2020 modèle SANILIGHT à Colomiers - lac du Perget / En 2017 Parc de L’Union comprenant une aire de pique-nique, des terrains de jeux et un stade (www.sanisphere-fr.com)\nBudget : de 21.000 € à 30.000 € selon le soubassement à prévoir.\n- La demande n°2 concerne l’installation d’une sanisette qui se nettoie automatiquement à proximité du jardin du Barry, sur le parking face au jardin du Barry ou rue Suzanne Noel à côté du parking Du Barry.\nL’emplacement à l’extérieur du jardin s’inspire des autres grands jardins toulousains qui n’accueillent pas directement de sanisette dans le jardin mais à proximité dans une rue. \nC'est une dépense d’investissement normalement éligible au budget participatif, les frais de location et d’entretien sont de la compétence de la ville, comme les 63 toilettes publiques déjà installés à Toulouse. Les toilettes étant auto-nettoyants, il n’y a pas beaucoup de nettoyage à prévoir, mais plutôt le remplacement des consommables.\nPour rendre ce système plus écologique, il serait intéressant de remplacer l'eau potable par de l'eau non potable (près du parking par récupération des eaux de pluie / proche du jardin, par l'eau du lac après filtrage).\nBudget : coût d’installation de 10.000 et 20.000 euros la cabine \nLocation 25.000 € annuel\n- Demande n°3 – installation d’urinoirs \nPour résoudre le problème des urines sauvages au Jardin du Barry et transformer cette incivilité en un puissant fertilisant 100 % bio : l’urine est recueillie et valorisée par les plantes dans un massif végétal rempli de Chabazite (roche volcanique).\nLa biomasse du bac, le terrain attenant et les plantes se nourrissent de ce fertilisant d'où une croissance accélérée. \nvoir ECOSEC - http://parisette.coop\nBudget : modèle VESPALITE - budget à préciser"]

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+["Le Jardin du Barry est un poumon vert pour le quartier Cartoucherie, quartier d’immeubles très denses, ainsi que pour les quartiers alentour. Ce Jardin est appelé à voir de plus en plus d’usagers journaliers, avec les nombreux habitants de l’Ecoquartier Cartoucherie (3 525 logements à terme), habitant quasiment tous en appartement, qui ont besoin de prendre l’air avec leurs enfants, ou qui font du jogging ou promènent leur chien, mais également avec la fréquentation pendant leurs pauses par les étudiants des écoles environnantes, par les salariés des bureaux, y compris pour déjeuner. Ces utilisations du Jardin sont grandissantes à toute période de l’année. \nSans compter les fêtes et rencontres amicales et familiales du week-end et l’utilisation des barbecues entre mai et octobre. Elle sera également accrue à toute époque de l’année, avec l’installation d’un terrain multisports et la réappropriation du Jardin par les habitants.\nCette réappropriation du jardin comme lieu de promenade, de rencontre ou de pratique sportive passe par une meilleure propreté du jardin, qui n’est possible que si des toilettes sont disponibles. En effet, la fréquentation du Jardin est actuellement gâchée par le manque de toilettes publiques (besoin naturel des enfants et des adultes, dès qu’on passe plus d’une heure et demie dans un jardin) et par les toilettes sauvages (avec papier et déjections humaines) qui se sont installées dans tous les recoins du jardin.\nL’installation de toilettes PMR au Jardin du Barry répond à un besoin du quartier et peut bénéficier au plus grand nombre. Elle s'inscrit dans le cadre des actions soutenues par la Mairie de Toulouse pour une ville + verte et + respirable. \n\nLa proposition est plurielle et complémentaire : \n- La demande n°1 concerne l’installation de toilettes publiques autonomes à lombricompostage dans le Jardin du Barry.\nSans ajout de sciure, ces toilettes sont conçues pour être utilisées aucun réseau d’eau ni d’électricité et sans produits chimiques (contribuent à économiser 12 600 000 litres d’eau potable par an).\nLe design sobre et le matériaux bois à l’extérieur permet de bien s'insérer dans l’environnement et l’utilisation ne nécessite aucun gardiennage. Ces toilettes pourraient démocratiser et décomplexer l’utilisation des toilettes dites « sèches ».\nIls s’utilisent comme des toilettes classiques : l’utilisateur appuie sur une pédale pour faire dérouler un tapis incliné.\nAinsi, les matières sont envoyés à l’arrière du bâtiment et sont progressivement transformés en terreau par les lombrics (vers de terre à la fois saprophages - ils consomment des végétaux en décomposition - et coprophages - se nourrissent de matières fécales). Ainsi, il n’y a pas besoin d’ajouter de la sciure ni de la paille, ce qui permet de limiter à une fois tous les 5 à 15 ans l’évacuation des terreaux.\nLe coût de l’exploitation est quasiment nul : 1 intervention par an dans le local technique est nécessaire, la vidange ne s’effectue que rarement.\nEx : en 2020 modèle SANILIGHT à Colomiers - lac du Perget / En 2017 Parc de L’Union comprenant une aire de pique-nique, des terrains de jeux et un stade (www.sanisphere-fr.com)\nBudget : de 21.000 € à 30.000 € selon le soubassement à prévoir.\n- La demande n°2 concerne l’installation d’une sanisette qui se nettoie automatiquement à proximité du jardin du Barry, sur le parking face au jardin du Barry ou rue Suzanne Noel à côté du parking Du Barry.\nL’emplacement à l’extérieur du jardin s’inspire des autres grands jardins toulousains qui n’accueillent pas directement de sanisette dans le jardin mais à proximité dans une rue. \nC'est une dépense d’investissement normalement éligible au budget participatif, les frais de location et d’entretien sont de la compétence de la ville, comme les 63 toilettes publiques déjà installés à Toulouse. Les toilettes étant auto-nettoyants, il n’y a pas beaucoup de nettoyage à prévoir, mais plutôt le remplacement des consommables.\nPour rendre ce système plus écologique, il serait intéressant de remplacer l'eau potable par de l'eau non potable (près du parking par récupération des eaux de pluie / proche du jardin, par l'eau du lac après filtrage).\nBudget : coût d’installation de 10.000 et 20.000 euros la cabine \nLocation 25.000 € annuel\n- Demande n°3 – installation d’urinoirs \nPour résoudre le problème des urines sauvages au Jardin du Barry et transformer cette incivilité en un puissant fertilisant 100 % bio : l’urine est recueillie et valorisée par les plantes dans un massif végétal rempli de Chabazite (roche volcanique).\nLa biomasse du bac, le terrain attenant et les plantes se nourrissent de ce fertilisant d'où une croissance accélérée. \nvoir ECOSEC - http://parisette.coop\nBudget : modèle VESPALITE - budget à préciser"]

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+["Le Jardin du Barry est un poumon vert pour le quartier Cartoucherie, quartier d’immeubles très denses, ainsi que pour les quartiers alentour. Ce Jardin est appelé à voir de plus en plus d’usagers journaliers, avec les nombreux habitants de l’Ecoquartier Cartoucherie (3 525 logements à terme), habitant quasiment tous en appartement, qui ont besoin de prendre l’air avec leurs enfants, ou qui font du jogging ou promènent leur chien, mais également avec la fréquentation pendant leurs pauses par les étudiants des écoles environnantes, par les salariés des bureaux, y compris pour déjeuner. Ces utilisations du Jardin sont grandissantes à toute période de l’année. \nSans compter les fêtes et rencontres amicales et familiales du week-end et l’utilisation des barbecues entre mai et octobre. Elle sera également accrue à toute époque de l’année, avec l’installation d’un terrain multisports et la réappropriation du Jardin par les habitants.\nCette réappropriation du jardin comme lieu de promenade, de rencontre ou de pratique sportive passe par une meilleure propreté du jardin, qui n’est possible que si des toilettes sont disponibles. En effet, la fréquentation du Jardin est actuellement gâchée par le manque de toilettes publiques (besoin naturel des enfants et des adultes, dès qu’on passe plus d’une heure et demie dans un jardin) et par les toilettes sauvages (avec papier et déjections humaines) qui se sont installées dans tous les recoins du jardin.\nL’installation de toilettes PMR au Jardin du Barry répond à un besoin du quartier et peut bénéficier au plus grand nombre. Elle s'inscrit dans le cadre des actions soutenues par la Mairie de Toulouse pour une ville + verte et + respirable. \n\nLa proposition est plurielle et complémentaire : \n- La demande n°1 concerne l’installation de toilettes publiques autonomes à lombricompostage dans le Jardin du Barry.\nSans ajout de sciure, ces toilettes sont conçues pour être utilisées aucun réseau d’eau ni d’électricité et sans produits chimiques (contribuent à économiser 12 600 000 litres d’eau potable par an).\nLe design sobre et le matériaux bois à l’extérieur permet de bien s'insérer dans l’environnement et l’utilisation ne nécessite aucun gardiennage. Ces toilettes pourraient démocratiser et décomplexer l’utilisation des toilettes dites « sèches ».\nIls s’utilisent comme des toilettes classiques : l’utilisateur appuie sur une pédale pour faire dérouler un tapis incliné.\nAinsi, les matières sont envoyés à l’arrière du bâtiment et sont progressivement transformés en terreau par les lombrics (vers de terre à la fois saprophages - ils consomment des végétaux en décomposition - et coprophages - se nourrissent de matières fécales). Ainsi, il n’y a pas besoin d’ajouter de la sciure ni de la paille, ce qui permet de limiter à une fois tous les 5 à 15 ans l’évacuation des terreaux.\nLe coût de l’exploitation est quasiment nul : 1 intervention par an dans le local technique est nécessaire, la vidange ne s’effectue que rarement.\nEx : en 2020 modèle SANILIGHT à Colomiers - lac du Perget / En 2017 Parc de L’Union comprenant une aire de pique-nique, des terrains de jeux et un stade (www.sanisphere-fr.com)\nBudget : de 21.000 € à 30.000 € selon le soubassement à prévoir.\n- La demande n°2 concerne l’installation d’une sanisette qui se nettoie automatiquement à proximité du jardin du Barry, sur le parking face au jardin du Barry ou rue Suzanne Noel à côté du parking Du Barry.\nL’emplacement à l’extérieur du jardin s’inspire des autres grands jardins toulousains qui n’accueillent pas directement de sanisette dans le jardin mais à proximité dans une rue. \nC'est une dépense d’investissement normalement éligible au budget participatif, les frais de location et d’entretien sont de la compétence de la ville, comme les 63 toilettes publiques déjà installés à Toulouse. Les toilettes étant auto-nettoyants, il n’y a pas beaucoup de nettoyage à prévoir, mais plutôt le remplacement des consommables.\nPour rendre ce système plus écologique, il serait intéressant de remplacer l'eau potable par de l'eau non potable (près du parking par récupération des eaux de pluie / proche du jardin, par l'eau du lac après filtrage).\nBudget : coût d’installation de 10.000 et 20.000 euros la cabine \nLocation 25.000 € annuel\n- Demande n°3 – installation d’urinoirs \nPour résoudre le problème des urines sauvages au Jardin du Barry et transformer cette incivilité en un puissant fertilisant 100 % bio : l’urine est recueillie et valorisée par les plantes dans un massif végétal rempli de Chabazite (roche volcanique).\nLa biomasse du bac, le terrain attenant et les plantes se nourrissent de ce fertilisant d'où une croissance accélérée. \nvoir ECOSEC - http://parisette.coop\nBudget : modèle VESPALITE - budget à préciser"]

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Auteur de la version

ComiteQCartoucherie

Version créée le 28/09/2021 10:52