Consultation publique : Elaboration des Cartes de Bruit Stratégiques et Plan de Prévention du Bruit dans l’Environnement

3e et 4 échéance, de Toulouse Métropole

Étape 2 sur 2

Délibération en Conseil Métropolitain 17/11/2024 - 31/12/2024

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Changements sur "Moratoire sur les projets routiers et Abaissement de la limite sur les voies rapides"

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+{"fr"=>"Moratoire sur les projets routiers et Abaissement de la limite sur les voies rapides"}

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+["Moratoire\n*********\nNous proposons de faire dès maintenant une pause nette sur les projets routiers à venir ou en cours :\n-\tArrêt de la Jonction Est\n-\tArrêt du Contournement de St-Simon (BUCSM).\n-\tArrêt des autres projets dont la conséquence est une augmentation du trafic motorisé\nCes projets augmentent le bruit. Ils vont directement à l’encontre de l’objectif. Des alternatives doivent être explorées.\nVitesse\n********\nL’exemple récent de Paris qui a baissé de 70 à 50km/h la limite sur son périphérique est une référence. Le niveau de bruit à baissé de 2 à 3dB en journée. \nATMO a étudié la réduction de vitesse sur le plan de la pollution (mais pas du bruit). Ses conclusions sont nettes. ATMO conclut son rapport : \n« Une baisse de la vitesse autorisée sur l’ensemble du réseau concerné a globalement un effet positif sur la consommation de carburant et les émissions de polluants dont les GES. »\nEn résumé, l’abaissement des vitesses a pour effet :\n-\tmoins de bruit\n-\tmoins de pollution\n-\tmoins d’accident.\nNous proposons un abaissement des vitesses :\n-\t110 => 90\n-\t90 => 70\n-\t80 => 70\n-\t70 => 50 (l’avenue d’Elche à Toulouse est à 70km/h)\n-\t50 => 30\n\nMaitrise de la voiture\n**************************\nLe stationnement de véhicules motorisés sur l’espace public est une source de pollution sonore et aérienne. Nombreux sont les automobilistes qui tournent en rond pour chercher une place.7\nNous proposons de réglementer le stationnement sur l’ensemble des communes de l’agglomération :\n-\ttoute la commune de Toulouse\n-\tLes centres-villes des villes de 1e et 2e couronne\nCette mesure aide indirectement mais efficacement la marche et le vélo.\n\nla ville 30\n**********\nDepuis un an, Toulouse a une réglementation à 30 avec des exceptions. Pour les autres villes de l’agglomération, cela dépend.\nNous demandons une ville 30 effective et pas « de papier » ; à Toulouse et dans tous les centres-villes de la première et deuxième couronne.\nDes radars pédagogiques, des contrôles réguliers par les forces de police, des aménagements de voirie devraient accompagner la ville 30 effective.\n\nRé-orientation des études de l’Etat\n***********************************\nNotre association (et plus généralement les citoyens de l’agglomération) sont consultés sur une partie des projets de transports : bureau de quartier, dispositif jeparticipe.fr, réunion publique…\nEn parallèle, les acteurs publics de la mobilité (Etat, Tisseo, TM, Région, Département) mènent des études, lancent des projets sans intégrer l’avis des citoyens en amont. La préfecture a édité en janvier 2024 des études prospectives multimodales.\nDes idées de lutte contre le bruit sont écartées de manière dogmatique comme la réduction des vitesses.\nDes projets routiers générateurs de bruits avancent ou voient le jour à l'écart du Plan de Mobilité.\nIl n’est pas possible de prendre des mesures qui visent à réduire le bruit si en même temps, les services de la Préfecture mènent une politique parallèle qui sape des mesures bénéfiques (vitesse) et qui lancent des projets routiers."]

+["Moratoire\n*********\nNous proposons de faire dès maintenant une pause nette sur les projets routiers à venir ou en cours :\n-\tArrêt de la Jonction Est\n-\tArrêt du Contournement de St-Simon (BUCSM).\n-\tArrêt des autres projets dont la conséquence est une augmentation du trafic motorisé\nCes projets augmentent le bruit. Ils vont directement à l’encontre de l’objectif. Des alternatives doivent être explorées.\nVitesse\n********\nL’exemple récent de Paris qui a baissé de 70 à 50km/h la limite sur son périphérique est une référence. Le niveau de bruit à baissé de 2 à 3dB en journée. \nATMO a étudié la réduction de vitesse sur le plan de la pollution (mais pas du bruit). Ses conclusions sont nettes. ATMO conclut son rapport : \n« Une baisse de la vitesse autorisée sur l’ensemble du réseau concerné a globalement un effet positif sur la consommation de carburant et les émissions de polluants dont les GES. »\nEn résumé, l’abaissement des vitesses a pour effet :\n-\tmoins de bruit\n-\tmoins de pollution\n-\tmoins d’accident.\nNous proposons un abaissement des vitesses :\n-\t110 => 90\n-\t90 => 70\n-\t80 => 70\n-\t70 => 50 (l’avenue d’Elche à Toulouse est à 70km/h)\n-\t50 => 30\n\nMaitrise de la voiture\n**************************\nLe stationnement de véhicules motorisés sur l’espace public est une source de pollution sonore et aérienne. Nombreux sont les automobilistes qui tournent en rond pour chercher une place.7\nNous proposons de réglementer le stationnement sur l’ensemble des communes de l’agglomération :\n-\ttoute la commune de Toulouse\n-\tLes centres-villes des villes de 1e et 2e couronne\nCette mesure aide indirectement mais efficacement la marche et le vélo.\n\nla ville 30\n**********\nDepuis un an, Toulouse a une réglementation à 30 avec des exceptions. Pour les autres villes de l’agglomération, cela dépend.\nNous demandons une ville 30 effective et pas « de papier » ; à Toulouse et dans tous les centres-villes de la première et deuxième couronne.\nDes radars pédagogiques, des contrôles réguliers par les forces de police, des aménagements de voirie devraient accompagner la ville 30 effective.\n\nRé-orientation des études de l’Etat\n***********************************\nNotre association (et plus généralement les citoyens de l’agglomération) sont consultés sur une partie des projets de transports : bureau de quartier, dispositif jeparticipe.fr, réunion publique…\nEn parallèle, les acteurs publics de la mobilité (Etat, Tisseo, TM, Région, Département) mènent des études, lancent des projets sans intégrer l’avis des citoyens en amont. La préfecture a édité en janvier 2024 des études prospectives multimodales.\nDes idées de lutte contre le bruit sont écartées de manière dogmatique comme la réduction des vitesses.\nDes projets routiers générateurs de bruits avancent ou voient le jour à l'écart du Plan de Mobilité.\nIl n’est pas possible de prendre des mesures qui visent à réduire le bruit si en même temps, les services de la Préfecture mènent une politique parallèle qui sape des mesures bénéfiques (vitesse) et qui lancent des projets routiers."]

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+["Moratoire\n*********\nNous proposons de faire dès maintenant une pause nette sur les projets routiers à venir ou en cours :\n-\tArrêt de la Jonction Est\n-\tArrêt du Contournement de St-Simon (BUCSM).\n-\tArrêt des autres projets dont la conséquence est une augmentation du trafic motorisé\nCes projets augmentent le bruit. Ils vont directement à l’encontre de l’objectif. Des alternatives doivent être explorées.\nVitesse\n********\nL’exemple récent de Paris qui a baissé de 70 à 50km/h la limite sur son périphérique est une référence. Le niveau de bruit à baissé de 2 à 3dB en journée. \nATMO a étudié la réduction de vitesse sur le plan de la pollution (mais pas du bruit). Ses conclusions sont nettes. ATMO conclut son rapport : \n« Une baisse de la vitesse autorisée sur l’ensemble du réseau concerné a globalement un effet positif sur la consommation de carburant et les émissions de polluants dont les GES. »\nEn résumé, l’abaissement des vitesses a pour effet :\n-\tmoins de bruit\n-\tmoins de pollution\n-\tmoins d’accident.\nNous proposons un abaissement des vitesses :\n-\t110 => 90\n-\t90 => 70\n-\t80 => 70\n-\t70 => 50 (l’avenue d’Elche à Toulouse est à 70km/h)\n-\t50 => 30\n\nMaitrise de la voiture\n**************************\nLe stationnement de véhicules motorisés sur l’espace public est une source de pollution sonore et aérienne. Nombreux sont les automobilistes qui tournent en rond pour chercher une place.7\nNous proposons de réglementer le stationnement sur l’ensemble des communes de l’agglomération :\n-\ttoute la commune de Toulouse\n-\tLes centres-villes des villes de 1e et 2e couronne\nCette mesure aide indirectement mais efficacement la marche et le vélo.\n\nla ville 30\n**********\nDepuis un an, Toulouse a une réglementation à 30 avec des exceptions. Pour les autres villes de l’agglomération, cela dépend.\nNous demandons une ville 30 effective et pas « de papier » ; à Toulouse et dans tous les centres-villes de la première et deuxième couronne.\nDes radars pédagogiques, des contrôles réguliers par les forces de police, des aménagements de voirie devraient accompagner la ville 30 effective.\n\nRé-orientation des études de l’Etat\n***********************************\nNotre association (et plus généralement les citoyens de l’agglomération) sont consultés sur une partie des projets de transports : bureau de quartier, dispositif jeparticipe.fr, réunion publique…\nEn parallèle, les acteurs publics de la mobilité (Etat, Tisseo, TM, Région, Département) mènent des études, lancent des projets sans intégrer l’avis des citoyens en amont. La préfecture a édité en janvier 2024 des études prospectives multimodales.\nDes idées de lutte contre le bruit sont écartées de manière dogmatique comme la réduction des vitesses.\nDes projets routiers générateurs de bruits avancent ou voient le jour à l'écart du Plan de Mobilité.\nIl n’est pas possible de prendre des mesures qui visent à réduire le bruit si en même temps, les services de la Préfecture mènent une politique parallèle qui sape des mesures bénéfiques (vitesse) et qui lancent des projets routiers."]

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+["Moratoire\n*********\nNous proposons de faire dès maintenant une pause nette sur les projets routiers à venir ou en cours :\n-\tArrêt de la Jonction Est\n-\tArrêt du Contournement de St-Simon (BUCSM).\n-\tArrêt des autres projets dont la conséquence est une augmentation du trafic motorisé\nCes projets augmentent le bruit. Ils vont directement à l’encontre de l’objectif. Des alternatives doivent être explorées.\nVitesse\n********\nL’exemple récent de Paris qui a baissé de 70 à 50km/h la limite sur son périphérique est une référence. Le niveau de bruit à baissé de 2 à 3dB en journée. \nATMO a étudié la réduction de vitesse sur le plan de la pollution (mais pas du bruit). Ses conclusions sont nettes. ATMO conclut son rapport : \n« Une baisse de la vitesse autorisée sur l’ensemble du réseau concerné a globalement un effet positif sur la consommation de carburant et les émissions de polluants dont les GES. »\nEn résumé, l’abaissement des vitesses a pour effet :\n-\tmoins de bruit\n-\tmoins de pollution\n-\tmoins d’accident.\nNous proposons un abaissement des vitesses :\n-\t110 => 90\n-\t90 => 70\n-\t80 => 70\n-\t70 => 50 (l’avenue d’Elche à Toulouse est à 70km/h)\n-\t50 => 30\n\nMaitrise de la voiture\n**************************\nLe stationnement de véhicules motorisés sur l’espace public est une source de pollution sonore et aérienne. Nombreux sont les automobilistes qui tournent en rond pour chercher une place.7\nNous proposons de réglementer le stationnement sur l’ensemble des communes de l’agglomération :\n-\ttoute la commune de Toulouse\n-\tLes centres-villes des villes de 1e et 2e couronne\nCette mesure aide indirectement mais efficacement la marche et le vélo.\n\nla ville 30\n**********\nDepuis un an, Toulouse a une réglementation à 30 avec des exceptions. Pour les autres villes de l’agglomération, cela dépend.\nNous demandons une ville 30 effective et pas « de papier » ; à Toulouse et dans tous les centres-villes de la première et deuxième couronne.\nDes radars pédagogiques, des contrôles réguliers par les forces de police, des aménagements de voirie devraient accompagner la ville 30 effective.\n\nRé-orientation des études de l’Etat\n***********************************\nNotre association (et plus généralement les citoyens de l’agglomération) sont consultés sur une partie des projets de transports : bureau de quartier, dispositif jeparticipe.fr, réunion publique…\nEn parallèle, les acteurs publics de la mobilité (Etat, Tisseo, TM, Région, Département) mènent des études, lancent des projets sans intégrer l’avis des citoyens en amont. La préfecture a édité en janvier 2024 des études prospectives multimodales.\nDes idées de lutte contre le bruit sont écartées de manière dogmatique comme la réduction des vitesses.\nDes projets routiers générateurs de bruits avancent ou voient le jour à l'écart du Plan de Mobilité.\nIl n’est pas possible de prendre des mesures qui visent à réduire le bruit si en même temps, les services de la Préfecture mènent une politique parallèle qui sape des mesures bénéfiques (vitesse) et qui lancent des projets routiers."]

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2 Pieds 2 Roues

Version créée le 14/11/2024 22:38