Consultation publique : Elaboration des Cartes de Bruit StratĂ©giques et Plan de PrĂ©vention du Bruit dans l’Environnement

3e et 4 échéance, de Toulouse Métropole

Étape 2 sur 2
Délibération en Conseil Métropolitain 17/11/2024 - 31/12/2024
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Changements sur "Pour une culture vivante et respectueuse : stop aux nuisances sonores pour les riverains du centre ville !"

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  • +{"fr"=>"Pour une culture vivante et respectueuse : stop aux nuisances sonores pour les riverains du centre ville !"}
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Corps du texte

  • +["La multiplication des concerts et animations organisĂ©s en plein air dans le centre ville de Toulouse, notamment dans des lieux tels que le Jardin des Plantes et l’esplanade Alain Savary, gĂ©nĂšre des nuisances sonores rĂ©currentes pour les riverains. Bien que ces Ă©vĂ©nements visent Ă  promouvoir une culture populaire et Ă  dynamiser l’attractivitĂ© de la ville, ils sont souvent programmĂ©s par la municipalitĂ© sans tenir compte des impacts sur les rĂ©sidents.\n—\nDu printemps Ă  l’étĂ©, les week-ends sont rythmĂ©s par des manifestations bruyantes qui ne laissent pas de rĂ©pit aux habitants. Ces Ă©vĂ©nements sont de plus en plus nombreux (tous les week-ends durant la pĂ©riode estivale), malgrĂ© une tendance gĂ©nĂ©rale de notre sociĂ©tĂ© vers une tolĂ©rance moindre au bruit. En outre, la prĂ©sence d’énormes baffles, orientĂ©s souvent vers les immeubles plutĂŽt que vers le jardin, semble disproportionnĂ©e, surtout lorsque le public ne compte qu’une poignĂ©e de participants. Cela crĂ©e une pollution sonore excessive et Ă©vitable.\n—\nDes cĂ©lĂ©brations comme la FĂȘte de la Musique, bien qu’annuelles, incluent dĂ©sormais des rave parties qui dĂ©passent systĂ©matiquement les seuils de dĂ©cibels autorisĂ©s. Mais les riverains doivent subir en silence (eux) quand la mairie fait la sourde oreille (et pour cause, avec tout ce vacarme !).\n—\nMa proposition est donc la suivante : dĂ©velopper une politique culturelle qui concilie dynamisme et respect des riverains. Cela pourrait inclure une limitation des Ă©vĂ©nements en plein air, le respect strict des normes sonores, une orientation des dispositifs sonores loin des habitations, et une planification plus Ă©quilibrĂ©e dans le calendrier, afin de prĂ©server la qualitĂ© de vie des rĂ©sidents tout en soutenant les initiatives culturelles de la ville."]
  • +["La multiplication des concerts et animations organisĂ©s en plein air dans le centre ville de Toulouse, notamment dans des lieux tels que le Jardin des Plantes et l’esplanade Alain Savary, gĂ©nĂšre des nuisances sonores rĂ©currentes pour les riverains. Bien que ces Ă©vĂ©nements visent Ă  promouvoir une culture populaire et Ă  dynamiser l’attractivitĂ© de la ville, ils sont souvent programmĂ©s par la municipalitĂ© sans tenir compte des impacts sur les rĂ©sidents.\n—\nDu printemps Ă  l’étĂ©, les week-ends sont rythmĂ©s par des manifestations bruyantes qui ne laissent pas de rĂ©pit aux habitants. Ces Ă©vĂ©nements sont de plus en plus nombreux (tous les week-ends durant la pĂ©riode estivale), malgrĂ© une tendance gĂ©nĂ©rale de notre sociĂ©tĂ© vers une tolĂ©rance moindre au bruit. En outre, la prĂ©sence d’énormes baffles, orientĂ©s souvent vers les immeubles plutĂŽt que vers le jardin, semble disproportionnĂ©e, surtout lorsque le public ne compte qu’une poignĂ©e de participants. Cela crĂ©e une pollution sonore excessive et Ă©vitable.\n—\nDes cĂ©lĂ©brations comme la FĂȘte de la Musique, bien qu’annuelles, incluent dĂ©sormais des rave parties qui dĂ©passent systĂ©matiquement les seuils de dĂ©cibels autorisĂ©s. Mais les riverains doivent subir en silence (eux) quand la mairie fait la sourde oreille (et pour cause, avec tout ce vacarme !).\n—\nMa proposition est donc la suivante : dĂ©velopper une politique culturelle qui concilie dynamisme et respect des riverains. Cela pourrait inclure une limitation des Ă©vĂ©nements en plein air, le respect strict des normes sonores, une orientation des dispositifs sonores loin des habitations, et une planification plus Ă©quilibrĂ©e dans le calendrier, afin de prĂ©server la qualitĂ© de vie des rĂ©sidents tout en soutenant les initiatives culturelles de la ville."]
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  • +["La multiplication des concerts et animations organisĂ©s en plein air dans le centre ville de Toulouse, notamment dans des lieux tels que le Jardin des Plantes et l’esplanade Alain Savary, gĂ©nĂšre des nuisances sonores rĂ©currentes pour les riverains. Bien que ces Ă©vĂ©nements visent Ă  promouvoir une culture populaire et Ă  dynamiser l’attractivitĂ© de la ville, ils sont souvent programmĂ©s par la municipalitĂ© sans tenir compte des impacts sur les rĂ©sidents.\n—\nDu printemps Ă  l’étĂ©, les week-ends sont rythmĂ©s par des manifestations bruyantes qui ne laissent pas de rĂ©pit aux habitants. Ces Ă©vĂ©nements sont de plus en plus nombreux (tous les week-ends durant la pĂ©riode estivale), malgrĂ© une tendance gĂ©nĂ©rale de notre sociĂ©tĂ© vers une tolĂ©rance moindre au bruit. En outre, la prĂ©sence d’énormes baffles, orientĂ©s souvent vers les immeubles plutĂŽt que vers le jardin, semble disproportionnĂ©e, surtout lorsque le public ne compte qu’une poignĂ©e de participants. Cela crĂ©e une pollution sonore excessive et Ă©vitable.\n—\nDes cĂ©lĂ©brations comme la FĂȘte de la Musique, bien qu’annuelles, incluent dĂ©sormais des rave parties qui dĂ©passent systĂ©matiquement les seuils de dĂ©cibels autorisĂ©s. Mais les riverains doivent subir en silence (eux) quand la mairie fait la sourde oreille (et pour cause, avec tout ce vacarme !).\n—\nMa proposition est donc la suivante : dĂ©velopper une politique culturelle qui concilie dynamisme et respect des riverains. Cela pourrait inclure une limitation des Ă©vĂ©nements en plein air, le respect strict des normes sonores, une orientation des dispositifs sonores loin des habitations, et une planification plus Ă©quilibrĂ©e dans le calendrier, afin de prĂ©server la qualitĂ© de vie des rĂ©sidents tout en soutenant les initiatives culturelles de la ville."]
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  • +["La multiplication des concerts et animations organisĂ©s en plein air dans le centre ville de Toulouse, notamment dans des lieux tels que le Jardin des Plantes et l’esplanade Alain Savary, gĂ©nĂšre des nuisances sonores rĂ©currentes pour les riverains. Bien que ces Ă©vĂ©nements visent Ă  promouvoir une culture populaire et Ă  dynamiser l’attractivitĂ© de la ville, ils sont souvent programmĂ©s par la municipalitĂ© sans tenir compte des impacts sur les rĂ©sidents.\n—\nDu printemps Ă  l’étĂ©, les week-ends sont rythmĂ©s par des manifestations bruyantes qui ne laissent pas de rĂ©pit aux habitants. Ces Ă©vĂ©nements sont de plus en plus nombreux (tous les week-ends durant la pĂ©riode estivale), malgrĂ© une tendance gĂ©nĂ©rale de notre sociĂ©tĂ© vers une tolĂ©rance moindre au bruit. En outre, la prĂ©sence d’énormes baffles, orientĂ©s souvent vers les immeubles plutĂŽt que vers le jardin, semble disproportionnĂ©e, surtout lorsque le public ne compte qu’une poignĂ©e de participants. Cela crĂ©e une pollution sonore excessive et Ă©vitable.\n—\nDes cĂ©lĂ©brations comme la FĂȘte de la Musique, bien qu’annuelles, incluent dĂ©sormais des rave parties qui dĂ©passent systĂ©matiquement les seuils de dĂ©cibels autorisĂ©s. Mais les riverains doivent subir en silence (eux) quand la mairie fait la sourde oreille (et pour cause, avec tout ce vacarme !).\n—\nMa proposition est donc la suivante : dĂ©velopper une politique culturelle qui concilie dynamisme et respect des riverains. Cela pourrait inclure une limitation des Ă©vĂ©nements en plein air, le respect strict des normes sonores, une orientation des dispositifs sonores loin des habitations, et une planification plus Ă©quilibrĂ©e dans le calendrier, afin de prĂ©server la qualitĂ© de vie des rĂ©sidents tout en soutenant les initiatives culturelles de la ville."]
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Avatar: Oilily Oilily
Version créée le 13/11/2024 09:17

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