Consultation publique : Elaboration des Cartes de Bruit StratĂ©giques et Plan de PrĂ©vention du Bruit dans lâEnvironnement
3e et 4 échéance, de Toulouse Métropole
Pour une culture vivante et respectueuse : stop aux nuisances sonores pour les riverains du centre ville !
La multiplication des concerts et animations organisĂ©s en plein air dans le centre ville de Toulouse, notamment dans des lieux tels que le Jardin des Plantes et lâesplanade Alain Savary, gĂ©nĂšre des nuisances sonores rĂ©currentes pour les riverains. Bien que ces Ă©vĂ©nements visent Ă promouvoir une culture populaire et Ă dynamiser lâattractivitĂ© de la ville, ils sont souvent programmĂ©s par la municipalitĂ© sans tenir compte des impacts sur les rĂ©sidents.
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Du printemps Ă lâĂ©tĂ©, les week-ends sont rythmĂ©s par des manifestations bruyantes qui ne laissent pas de rĂ©pit aux habitants. Ces Ă©vĂ©nements sont de plus en plus nombreux (tous les week-ends durant la pĂ©riode estivale), malgrĂ© une tendance gĂ©nĂ©rale de notre sociĂ©tĂ© vers une tolĂ©rance moindre au bruit. En outre, la prĂ©sence dâĂ©normes baffles, orientĂ©s souvent vers les immeubles plutĂŽt que vers le jardin, semble disproportionnĂ©e, surtout lorsque le public ne compte quâune poignĂ©e de participants. Cela crĂ©e une pollution sonore excessive et Ă©vitable.
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Des cĂ©lĂ©brations comme la FĂȘte de la Musique, bien quâannuelles, incluent dĂ©sormais des rave parties qui dĂ©passent systĂ©matiquement les seuils de dĂ©cibels autorisĂ©s. Mais les riverains doivent subir en silence (eux) quand la mairie fait la sourde oreille (et pour cause, avec tout ce vacarme !).
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Ma proposition est donc la suivante : développer une politique culturelle qui concilie dynamisme et respect des riverains. Cela pourrait inclure une limitation des événements en plein air, le respect strict des normes sonores, une orientation des dispositifs sonores loin des habitations, et une planification plus équilibrée dans le calendrier, afin de préserver la qualité de vie des résidents tout en soutenant les initiatives culturelles de la ville.
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Du printemps Ă lâĂ©tĂ©, les week-ends sont rythmĂ©s par des manifestations bruyantes qui ne laissent pas de rĂ©pit aux habitants. Ces Ă©vĂ©nements sont de plus en plus nombreux (tous les week-ends durant la pĂ©riode estivale), malgrĂ© une tendance gĂ©nĂ©rale de notre sociĂ©tĂ© vers une tolĂ©rance moindre au bruit. En outre, la prĂ©sence dâĂ©normes baffles, orientĂ©s souvent vers les immeubles plutĂŽt que vers le jardin, semble disproportionnĂ©e, surtout lorsque le public ne compte quâune poignĂ©e de participants. Cela crĂ©e une pollution sonore excessive et Ă©vitable.
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Des cĂ©lĂ©brations comme la FĂȘte de la Musique, bien quâannuelles, incluent dĂ©sormais des rave parties qui dĂ©passent systĂ©matiquement les seuils de dĂ©cibels autorisĂ©s. Mais les riverains doivent subir en silence (eux) quand la mairie fait la sourde oreille (et pour cause, avec tout ce vacarme !).
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Ma proposition est donc la suivante : développer une politique culturelle qui concilie dynamisme et respect des riverains. Cela pourrait inclure une limitation des événements en plein air, le respect strict des normes sonores, une orientation des dispositifs sonores loin des habitations, et une planification plus équilibrée dans le calendrier, afin de préserver la qualité de vie des résidents tout en soutenant les initiatives culturelles de la ville.
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