Concertation publique pour la modernisation du Pont de Gagnac-sur-Garonne
Voie concernant les communes de Gagnac-sur-Garonne et Seilh
Réalisez les choses dans le bon ordre
Lors de la réunion du 26 février, les intervenants officiels nous ont expliqué qu'il fallait fermer le pont de Gagnac durant 6 à 8 mois à l'horizon 2028.
Alors que la circulation est déjà particulièrement difficile dans le nord toulousain, du fait du laxisme persistant des instances politiques (Conseil Départemental, puis depuis le transfert de compétence de 2017, Toulouse Métropole) qui ont délaissé le prolongement de la Voie Lactée et son franchissement de la Garonne vers Saint-Jory, nous devrions vivre l'enfer dans 4 ans du fait de la fermeture de ce pont.
Messieurs Dames les politiques, faites les choses dans l'odre : dans une "démarche d'urgence" !, construisez d'abord la Voie Lactée prolongée, que nous attendons depuis une trentaine d'années, ensuite seulement procédez à l'entretien du pont de Gagnac.
Vous allez faire valoir la nécessité de ne pas trop tarder à réaliser cet entretien. La solution est simple pour pouvoir le reporter : vous avez indiqué lors de la réunion que sur un passage de 20.000 véhicules / jour (ou 23.000 selon les versions), 4 % était constitué de poids lourds, et que ce sont ces derniers véhicules qui provoquent l'essentiel des contraintes de vieillissement de l'ouvrage d'art.
Alors interdisez dès aujourd'hui (avec tout de même respect d'un préavis d'information) le franchissement du pont aux poids lourds, ainsi vous prolongerez l'espérance de vie du pont.
De la sorte, vous aurez le temps de construire le prolongement de la Voie Lactée et son nouveau pont. Dés son ouverture, vous pourrez fermer le pont de Gagnac et le restaurer.
Vous aurez ainsi évité l'enfer que l'on nous promet, vous aurez assuré un minimum de respect envers les habitants du nord toulousain, et vous aurez correctement rempli votre mission de responsables politiques.
Personne n'est prêt à accepter la fermeture inconditionnelle de ce pont, sans alternatives, ainsi que vous la prévoyez.
Alors que la circulation est déjà particulièrement difficile dans le nord toulousain, du fait du laxisme persistant des instances politiques (Conseil Départemental, puis depuis le transfert de compétence de 2017, Toulouse Métropole) qui ont délaissé le prolongement de la Voie Lactée et son franchissement de la Garonne vers Saint-Jory, nous devrions vivre l'enfer dans 4 ans du fait de la fermeture de ce pont.
Messieurs Dames les politiques, faites les choses dans l'odre : dans une "démarche d'urgence" !, construisez d'abord la Voie Lactée prolongée, que nous attendons depuis une trentaine d'années, ensuite seulement procédez à l'entretien du pont de Gagnac.
Vous allez faire valoir la nécessité de ne pas trop tarder à réaliser cet entretien. La solution est simple pour pouvoir le reporter : vous avez indiqué lors de la réunion que sur un passage de 20.000 véhicules / jour (ou 23.000 selon les versions), 4 % était constitué de poids lourds, et que ce sont ces derniers véhicules qui provoquent l'essentiel des contraintes de vieillissement de l'ouvrage d'art.
Alors interdisez dès aujourd'hui (avec tout de même respect d'un préavis d'information) le franchissement du pont aux poids lourds, ainsi vous prolongerez l'espérance de vie du pont.
De la sorte, vous aurez le temps de construire le prolongement de la Voie Lactée et son nouveau pont. Dés son ouverture, vous pourrez fermer le pont de Gagnac et le restaurer.
Vous aurez ainsi évité l'enfer que l'on nous promet, vous aurez assuré un minimum de respect envers les habitants du nord toulousain, et vous aurez correctement rempli votre mission de responsables politiques.
Personne n'est prêt à accepter la fermeture inconditionnelle de ce pont, sans alternatives, ainsi que vous la prévoyez.
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