Réaménagement du pont Saint-Pierre
Donnez votre avis sur la piétonnisation du Pont Saint-Pierre - Edition 2023
Bilan et arbitrage sur le devenir du Pont Saint-Pierre
01/10/2023 - 30/11/2023
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Le sens de l histoire
Parmi les métropoles construites de part et d'autre de fleuves, Paris, Lyon, Nantes, Tours ont des ponts ou passerelles sans voiture en leur centre. Comment Toulouse pourrait rater cette opportunité ? (Les passerelles vers l île du Ramier ne seront pas centrales)
Comme c'est le cas dans nombre de villes similaires, on perçoit pour Toulouse que la zone situé entre les boulevards, faite de rues étroites ne permettant pas de séparer les flux pour que la cohabitation voitures / piétons / mobilités douces se passe pour le mieux.
C'est d'autant plus vrai que le choix fait à Toulouse dans les zones pietones est laxiste : hors de quelques lieux specifiques les scooters roulent de façon incontrôlée, la rue Alsace par exemple est une voie express scooter entre les rue du Languedoc et Jean Jaurès et même jeanne d'arc à certaine heures.
La rue Pargaminiere bien que voyant un traffic piéton et vélo très important, connait un traffic voiture fort, que ce soit par la rue Alexis Larrey (sans controle d accès) ou directement depuis la place Saint Pierre.
Le maintien de la circulation automobile sur le pont Saint Pierre continuera à alimenter ce flux de voiture tenté dans nombre de cas de traverser directement la Garonne pour accéder aux places de stationnement public que ce soit vers l université et le canal.
Le stationnement automobile au plus près des destinations d'activités ne doit plus être la règle, la circulation dans ces zones autours de la place Saint Pierre devrait être exceptionnelle, et ne pas résulter à certaines heures en de files de voitures bien peu compatibles avec la volonté d'établir un espace agréable pour qu habitants , pietons et cyclistes profitent.
Le maintien de la circulation automobile depuis St Cyprien va maintenir la pression automobile sur la zone, va continuer à rendre le careffour place Saint Pierre où tous les flux se croisent difficile à négocier. C'est refuser de considérer que les contraintes climatiques imposent une baisse de la part modale automobile et pas seulement son électrification. Et si on ne pousse pas le curseur au plus fort en zone d hyper-centre, c est avouer que l on ne souhaite pas vraiment atteindre les objectifs que l on se fixe par exemple dans le PCAET. Je rappelle que son evaluation à mi parcours montre que l on est loin de l objectif de baisse des de consommation d energie (sur une trajectoire a -5% en 2030 pour-20% visé pour l'énergie, et-9% sur les GES contre-40% visés). Les mobilités automobiles, mais aussi le fret joue un rôle significatif la dedans.
Comme c'est le cas dans nombre de villes similaires, on perçoit pour Toulouse que la zone situé entre les boulevards, faite de rues étroites ne permettant pas de séparer les flux pour que la cohabitation voitures / piétons / mobilités douces se passe pour le mieux.
C'est d'autant plus vrai que le choix fait à Toulouse dans les zones pietones est laxiste : hors de quelques lieux specifiques les scooters roulent de façon incontrôlée, la rue Alsace par exemple est une voie express scooter entre les rue du Languedoc et Jean Jaurès et même jeanne d'arc à certaine heures.
La rue Pargaminiere bien que voyant un traffic piéton et vélo très important, connait un traffic voiture fort, que ce soit par la rue Alexis Larrey (sans controle d accès) ou directement depuis la place Saint Pierre.
Le maintien de la circulation automobile sur le pont Saint Pierre continuera à alimenter ce flux de voiture tenté dans nombre de cas de traverser directement la Garonne pour accéder aux places de stationnement public que ce soit vers l université et le canal.
Le stationnement automobile au plus près des destinations d'activités ne doit plus être la règle, la circulation dans ces zones autours de la place Saint Pierre devrait être exceptionnelle, et ne pas résulter à certaines heures en de files de voitures bien peu compatibles avec la volonté d'établir un espace agréable pour qu habitants , pietons et cyclistes profitent.
Le maintien de la circulation automobile depuis St Cyprien va maintenir la pression automobile sur la zone, va continuer à rendre le careffour place Saint Pierre où tous les flux se croisent difficile à négocier. C'est refuser de considérer que les contraintes climatiques imposent une baisse de la part modale automobile et pas seulement son électrification. Et si on ne pousse pas le curseur au plus fort en zone d hyper-centre, c est avouer que l on ne souhaite pas vraiment atteindre les objectifs que l on se fixe par exemple dans le PCAET. Je rappelle que son evaluation à mi parcours montre que l on est loin de l objectif de baisse des de consommation d energie (sur une trajectoire a -5% en 2030 pour-20% visé pour l'énergie, et-9% sur les GES contre-40% visés). Les mobilités automobiles, mais aussi le fret joue un rôle significatif la dedans.
Si on est conscient du sens de l'histoire, si on est soucieux de la qualité de vie des habitants des quais et des petites rues de la zone, si on souhaite améliorer l'attractivité comme zone de vie et de déambulation des extraordinaires quais de cette zone, on doit réduire au minimum la circulation dans cette zone et donc laisser ce lien au dessus de la Garonne aux piétons aux mobilités douces.
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