Élaboration du Programme d'Actions de Prévention des Inondations (PAPI) 2025-2031

Ensemble, réduisons les risques liés aux inondations !

Étape 1 sur 4

Consultation préalable 22/03/2024 - 22/11/2024

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Changements sur "Protection contre les crues à Tournefeuille"

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+{"fr"=>"Protection contre les crues à Tournefeuille"}

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+["La crue du Touch de février 2003 a impacté la ville de Tournefeuille en particulier par l’inondation de la résidence d Oc, résidence pour personnes âgées.\nSi les conséquences n’ont pas été aussi importantes dans notre lotissement du Petit Marquis, elle a donné lieu à un large débordement de la rivière entrainant l’envahissement des jardins et l’atteinte voire le dépassement –léger- du seuil de pénétration de l’eau dans les habitations de la rue de Valençay.\nDepuis cette date plusieurs crues similaires mais heureusement légèrement inférieures au niveau de débordement du Touch (4,10 m d’après les données de Vigicrue à la station de Plaisance du Touch en 2003) se sont produites, montrant que le risque est bien réel.\nDepuis 2003, des études diligentées par la municipalité et plusieurs commissions d’enquêtes se sont penchées sur cet événement mais aucune mesure de protection spécifique de notre quartier n’a été mise en œuvre.\nCependant, lors des échanges tenus lors de ces enquêtes, il fut proposé, y compris par des professionnels de ces études hydrographiques, la réalisation d’un ouvrage protecteur (levée de terre) à la limite du fossé situé au fond des jardins de la rue de Valençay.\nCette proposition nous conviendrait puisqu’elle serait protectrice des habitations tout en laissant une large zone - non construite – où l’eau pourrait s’étendre. Ceci permettrait de contribuer à écrêter la crue, et donc à protéger les zones en aval.\nPar ailleurs nous sollicitons le maintien d’une grande vigilance concernant l’entretien du Touch en particulier sur la zone la plus proche de nous car le débordement de 2003 avait eu en partie lieu juste en aval du pont de l’avenue du Maréchal Leclerc.Nous avons eu plusieurs fois contacts avec la GEMAPI par mails et sur le terrain en la personne de deux techniciens. Merci de la disponibilité de ce service pour nous répondre.\nNous restons cependant circonspects et dubitatifs sur la gestion des atterrissements : ces ilots de sédimentation se végétalisent, les arbustes devenant arbres. Ils constituent à notre avis des embryons d’embâcles dangereux que nous souhaiterions voir beaucoup plus limités dans leur développement pour favoriser l’écoulement du flux.\nA contrario la GEMAPI leur attribue, je cite « une fonction de peigne qui bloquerait branches et troncs issus de la partie amont du Touch . Cela permettrait de réaliser une intervention plus facile que si l'embâcle se fixe au niveau d'un pont ».\nCette vision des choses nous inquiète.\nNous voulons signaler également l’existence d’un atterrissement important, cette fois en amont de ce pont. Or l’avenue du Maréchal Leclerc barre la vallée du Touch et l’eau ne peut passer qu’au niveau du pont, zone fort étroite. De notre point de vue cet atterrissement peut générer un embâcle qui entrainerait une inondation importante en amont du pont et constituerait un risque de vague de submersion en aval, dont notre quartier en premier lieu, en cas de rupture brutale de cet embâcle.\nEn vous remerciant de l’attention que vous voudrez bien porter à nos remarques et suggestions"]

+["La crue du Touch de février 2003 a impacté la ville de Tournefeuille en particulier par l’inondation de la résidence d Oc, résidence pour personnes âgées.\nSi les conséquences n’ont pas été aussi importantes dans notre lotissement du Petit Marquis, elle a donné lieu à un large débordement de la rivière entrainant l’envahissement des jardins et l’atteinte voire le dépassement –léger- du seuil de pénétration de l’eau dans les habitations de la rue de Valençay.\nDepuis cette date plusieurs crues similaires mais heureusement légèrement inférieures au niveau de débordement du Touch (4,10 m d’après les données de Vigicrue à la station de Plaisance du Touch en 2003) se sont produites, montrant que le risque est bien réel.\nDepuis 2003, des études diligentées par la municipalité et plusieurs commissions d’enquêtes se sont penchées sur cet événement mais aucune mesure de protection spécifique de notre quartier n’a été mise en œuvre.\nCependant, lors des échanges tenus lors de ces enquêtes, il fut proposé, y compris par des professionnels de ces études hydrographiques, la réalisation d’un ouvrage protecteur (levée de terre) à la limite du fossé situé au fond des jardins de la rue de Valençay.\nCette proposition nous conviendrait puisqu’elle serait protectrice des habitations tout en laissant une large zone - non construite – où l’eau pourrait s’étendre. Ceci permettrait de contribuer à écrêter la crue, et donc à protéger les zones en aval.\nPar ailleurs nous sollicitons le maintien d’une grande vigilance concernant l’entretien du Touch en particulier sur la zone la plus proche de nous car le débordement de 2003 avait eu en partie lieu juste en aval du pont de l’avenue du Maréchal Leclerc.Nous avons eu plusieurs fois contacts avec la GEMAPI par mails et sur le terrain en la personne de deux techniciens. Merci de la disponibilité de ce service pour nous répondre.\nNous restons cependant circonspects et dubitatifs sur la gestion des atterrissements : ces ilots de sédimentation se végétalisent, les arbustes devenant arbres. Ils constituent à notre avis des embryons d’embâcles dangereux que nous souhaiterions voir beaucoup plus limités dans leur développement pour favoriser l’écoulement du flux.\nA contrario la GEMAPI leur attribue, je cite « une fonction de peigne qui bloquerait branches et troncs issus de la partie amont du Touch . Cela permettrait de réaliser une intervention plus facile que si l'embâcle se fixe au niveau d'un pont ».\nCette vision des choses nous inquiète.\nNous voulons signaler également l’existence d’un atterrissement important, cette fois en amont de ce pont. Or l’avenue du Maréchal Leclerc barre la vallée du Touch et l’eau ne peut passer qu’au niveau du pont, zone fort étroite. De notre point de vue cet atterrissement peut générer un embâcle qui entrainerait une inondation importante en amont du pont et constituerait un risque de vague de submersion en aval, dont notre quartier en premier lieu, en cas de rupture brutale de cet embâcle.\nEn vous remerciant de l’attention que vous voudrez bien porter à nos remarques et suggestions"]

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+["La crue du Touch de février 2003 a impacté la ville de Tournefeuille en particulier par l’inondation de la résidence d Oc, résidence pour personnes âgées.\nSi les conséquences n’ont pas été aussi importantes dans notre lotissement du Petit Marquis, elle a donné lieu à un large débordement de la rivière entrainant l’envahissement des jardins et l’atteinte voire le dépassement –léger- du seuil de pénétration de l’eau dans les habitations de la rue de Valençay.\nDepuis cette date plusieurs crues similaires mais heureusement légèrement inférieures au niveau de débordement du Touch (4,10 m d’après les données de Vigicrue à la station de Plaisance du Touch en 2003) se sont produites, montrant que le risque est bien réel.\nDepuis 2003, des études diligentées par la municipalité et plusieurs commissions d’enquêtes se sont penchées sur cet événement mais aucune mesure de protection spécifique de notre quartier n’a été mise en œuvre.\nCependant, lors des échanges tenus lors de ces enquêtes, il fut proposé, y compris par des professionnels de ces études hydrographiques, la réalisation d’un ouvrage protecteur (levée de terre) à la limite du fossé situé au fond des jardins de la rue de Valençay.\nCette proposition nous conviendrait puisqu’elle serait protectrice des habitations tout en laissant une large zone - non construite – où l’eau pourrait s’étendre. Ceci permettrait de contribuer à écrêter la crue, et donc à protéger les zones en aval.\nPar ailleurs nous sollicitons le maintien d’une grande vigilance concernant l’entretien du Touch en particulier sur la zone la plus proche de nous car le débordement de 2003 avait eu en partie lieu juste en aval du pont de l’avenue du Maréchal Leclerc.Nous avons eu plusieurs fois contacts avec la GEMAPI par mails et sur le terrain en la personne de deux techniciens. Merci de la disponibilité de ce service pour nous répondre.\nNous restons cependant circonspects et dubitatifs sur la gestion des atterrissements : ces ilots de sédimentation se végétalisent, les arbustes devenant arbres. Ils constituent à notre avis des embryons d’embâcles dangereux que nous souhaiterions voir beaucoup plus limités dans leur développement pour favoriser l’écoulement du flux.\nA contrario la GEMAPI leur attribue, je cite « une fonction de peigne qui bloquerait branches et troncs issus de la partie amont du Touch . Cela permettrait de réaliser une intervention plus facile que si l'embâcle se fixe au niveau d'un pont ».\nCette vision des choses nous inquiète.\nNous voulons signaler également l’existence d’un atterrissement important, cette fois en amont de ce pont. Or l’avenue du Maréchal Leclerc barre la vallée du Touch et l’eau ne peut passer qu’au niveau du pont, zone fort étroite. De notre point de vue cet atterrissement peut générer un embâcle qui entrainerait une inondation importante en amont du pont et constituerait un risque de vague de submersion en aval, dont notre quartier en premier lieu, en cas de rupture brutale de cet embâcle.\nEn vous remerciant de l’attention que vous voudrez bien porter à nos remarques et suggestions"]

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+["La crue du Touch de février 2003 a impacté la ville de Tournefeuille en particulier par l’inondation de la résidence d Oc, résidence pour personnes âgées.\nSi les conséquences n’ont pas été aussi importantes dans notre lotissement du Petit Marquis, elle a donné lieu à un large débordement de la rivière entrainant l’envahissement des jardins et l’atteinte voire le dépassement –léger- du seuil de pénétration de l’eau dans les habitations de la rue de Valençay.\nDepuis cette date plusieurs crues similaires mais heureusement légèrement inférieures au niveau de débordement du Touch (4,10 m d’après les données de Vigicrue à la station de Plaisance du Touch en 2003) se sont produites, montrant que le risque est bien réel.\nDepuis 2003, des études diligentées par la municipalité et plusieurs commissions d’enquêtes se sont penchées sur cet événement mais aucune mesure de protection spécifique de notre quartier n’a été mise en œuvre.\nCependant, lors des échanges tenus lors de ces enquêtes, il fut proposé, y compris par des professionnels de ces études hydrographiques, la réalisation d’un ouvrage protecteur (levée de terre) à la limite du fossé situé au fond des jardins de la rue de Valençay.\nCette proposition nous conviendrait puisqu’elle serait protectrice des habitations tout en laissant une large zone - non construite – où l’eau pourrait s’étendre. Ceci permettrait de contribuer à écrêter la crue, et donc à protéger les zones en aval.\nPar ailleurs nous sollicitons le maintien d’une grande vigilance concernant l’entretien du Touch en particulier sur la zone la plus proche de nous car le débordement de 2003 avait eu en partie lieu juste en aval du pont de l’avenue du Maréchal Leclerc.Nous avons eu plusieurs fois contacts avec la GEMAPI par mails et sur le terrain en la personne de deux techniciens. Merci de la disponibilité de ce service pour nous répondre.\nNous restons cependant circonspects et dubitatifs sur la gestion des atterrissements : ces ilots de sédimentation se végétalisent, les arbustes devenant arbres. Ils constituent à notre avis des embryons d’embâcles dangereux que nous souhaiterions voir beaucoup plus limités dans leur développement pour favoriser l’écoulement du flux.\nA contrario la GEMAPI leur attribue, je cite « une fonction de peigne qui bloquerait branches et troncs issus de la partie amont du Touch . Cela permettrait de réaliser une intervention plus facile que si l'embâcle se fixe au niveau d'un pont ».\nCette vision des choses nous inquiète.\nNous voulons signaler également l’existence d’un atterrissement important, cette fois en amont de ce pont. Or l’avenue du Maréchal Leclerc barre la vallée du Touch et l’eau ne peut passer qu’au niveau du pont, zone fort étroite. De notre point de vue cet atterrissement peut générer un embâcle qui entrainerait une inondation importante en amont du pont et constituerait un risque de vague de submersion en aval, dont notre quartier en premier lieu, en cas de rupture brutale de cet embâcle.\nEn vous remerciant de l’attention que vous voudrez bien porter à nos remarques et suggestions"]

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Auteur de la version

Association des Habitants du Petit Marquis

Version créée le 15/11/2024 10:13