sur le secteur, aucun jardin ne peut accueillir un canisite équivalent à celui du Jardin du Verrier.

(Exemple : le jardin du Castelet, rue Caffarelli, est trop confiné et entouré d’immeubles et ne permet pas l’implantation d’un canisite au vu de sa surface et des nuisances que cela pourrait engendrer pour les riverains).

Il convient toutefois de noter que les canisites de petite dimension (comme au jardin du Verrier), tels qu’ils se faisaient avant, sont peu ou mal utilisés. Il est plus opportun de développer des caniparcs, qui sont de grands espaces clos de l’ordre de 1200 m²) ne pouvant être aménagés que dans de grands parcs (de plus de 1 ou 2 ha), où les chiens peuvent être lâchés, sans laisse.