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Pédagogie pour cohabitation des usagers
Etant cycliste du quotidien, je suis parfois interpellée par l'usage d'autres cyclistes qui se mettent eux-mêmes et les autres en danger.
Le principe de prudence explique la hiérarchie des vulnérabilités : piéton, cycliste et assimilés, deux roues motorisés, voitures, camions et bus. Il instaure aussi le droit à l'erreur et donc la courtoisie. Je constate que de plus en plus de voitures ralentissent et veillent à laisser passer ou communiquer avec le cycliste, mais il y en a peut-être tout autant qui accélèrent par mécontentement.
Rappeler la vulnérabilité de chacun par des spots de prévention des risques pourraient éviter que des cyclistes se mettent en danger en prenant des bandes cyclables à contre-sens ou à traverser un carrefour sans regarder clairement la distance avec le véhicule qui arrive au vert, ou que des voitures ne voient pas le cycliste qui arrive.
Un cycliste se sent souvent le droit de passer plus vite, de par la liberté que lui octroie son véhicule et l'énergie musculaire qu'il faut fournir pour redémarrer. Mes idées pour inviter à ralentir et analyser les situations :
- Diffuser des images des risques comme on en a eu avec la prévention routière autour des voitures (sans dramatiser les choses)
- Faire des circuits pédagogiques avec explication des bonnes pratiques pour prendre un aménagement à vélo, à pied ou en voiture (vélo-rue, chaucidou, giratoire, ...).
- Apprendre aux cyclistes les bonnes façons de cohabiter avec un poids lourd ! Plus on s'éloigne des plus lourds, plus on est en sécurité.
Le principe de prudence explique la hiérarchie des vulnérabilités : piéton, cycliste et assimilés, deux roues motorisés, voitures, camions et bus. Il instaure aussi le droit à l'erreur et donc la courtoisie. Je constate que de plus en plus de voitures ralentissent et veillent à laisser passer ou communiquer avec le cycliste, mais il y en a peut-être tout autant qui accélèrent par mécontentement.
Rappeler la vulnérabilité de chacun par des spots de prévention des risques pourraient éviter que des cyclistes se mettent en danger en prenant des bandes cyclables à contre-sens ou à traverser un carrefour sans regarder clairement la distance avec le véhicule qui arrive au vert, ou que des voitures ne voient pas le cycliste qui arrive.
Un cycliste se sent souvent le droit de passer plus vite, de par la liberté que lui octroie son véhicule et l'énergie musculaire qu'il faut fournir pour redémarrer. Mes idées pour inviter à ralentir et analyser les situations :
- Diffuser des images des risques comme on en a eu avec la prévention routière autour des voitures (sans dramatiser les choses)
- Faire des circuits pédagogiques avec explication des bonnes pratiques pour prendre un aménagement à vélo, à pied ou en voiture (vélo-rue, chaucidou, giratoire, ...).
- Apprendre aux cyclistes les bonnes façons de cohabiter avec un poids lourd ! Plus on s'éloigne des plus lourds, plus on est en sécurité.
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