Mobilité : Projet Jonction Est
Un maillon fort des déplacements dans l’Est de la Métropole
Un projet anachronique
L'urgence climatique est là. Nous devons diminuer nos émissions de gaz à effet de serre pour éviter un trop fort réchauffement de la planète.
Or ce projet apparaît comme foncièrement anachronique. Des zones entières seront artificialisées, des écosystèmes seront détruits pour un projet d'une durée de vie faible, car la voiture est amenée à rapidement réduire son empreinte sur nos sociétés, et nos mobilités se transformer.
Or ce projet apparaît comme foncièrement anachronique. Des zones entières seront artificialisées, des écosystèmes seront détruits pour un projet d'une durée de vie faible, car la voiture est amenée à rapidement réduire son empreinte sur nos sociétés, et nos mobilités se transformer.
Les conclusions de l'avis du Conseil National de Protection de la Nature sont éloquentes :
"Ce dossier s’inscrit en contradiction avec les engagements nationaux en matière de lutte contre le changement climatique, d’objectif du zéro artificialisation nette et du zéro perte nette de biodiversité, ainsi qu’en matière de pouvoir d’achat. L’absence de solutions alternatives satisfaisantes prête à débat, et les arguments du pétitionnaire ne sont pas convaincants. La co-existence de l’actuelle RN126 et d’une nouvelle autoroute accroît les ruptures de continuités écologiques, la destruction des habitats et l’artificialisation du territoire. L’élargissement de l’infrastructure existante (RN126) constituerait probablement une solution de moindre impact plus acceptable et raisonnable.".
"Ce dossier s’inscrit en contradiction avec les engagements nationaux en matière de lutte contre le changement climatique, d’objectif du zéro artificialisation nette et du zéro perte nette de biodiversité, ainsi qu’en matière de pouvoir d’achat. L’absence de solutions alternatives satisfaisantes prête à débat, et les arguments du pétitionnaire ne sont pas convaincants. La co-existence de l’actuelle RN126 et d’une nouvelle autoroute accroît les ruptures de continuités écologiques, la destruction des habitats et l’artificialisation du territoire. L’élargissement de l’infrastructure existante (RN126) constituerait probablement une solution de moindre impact plus acceptable et raisonnable.".
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