Mobilité : Projet Jonction Est
Un maillon fort des déplacements dans l’Est de la Métropole
Un projet injustifié
Le projet de jonction est totalement décalé par rapport aux ambitions, du moins affirmée, d’une métropole qui se veut soucieuse de l’environnement et du bien-être de ses habitants.
Le projet est d’évidence un « retour vers le passé », la consécration d’une suprématie de la « bagnole ». Nous sommes vraiment dans le monde d’hier et pas de demain.
Les critiques, notamment juridiques, ont déjà été faites : stérilisation des sols, suppression d’espaces verts…
Même si l’on admettait, ce qui n’est pas le cas de l’immense majorité des habitants et usagers concernés, que les perspectives économiques à très court terme l’emportent sur l’intérêt général que sont censés défendre nos élus, l’argument, ainsi que le font valoir d’autres interventions, est irrecevable.
Dans bien d’autres hypothèses très proches, le juge administratif garant des équilibres entre projets urbains et garanties des droits, a estimé, selon une formule consacrée, que le bilan coût avantages n’était pas justifié.
Est-il établi qu’un tel projet, qui ne manquerait pas d’être contesté, justifierait de longues, et couteuses procédures ?
La raison, la logique impliquent que d’autres types d’aménagement s’imposent si l’on suppose qu’il existe un intérêt général local que la Métropole représente.
Le projet est d’évidence un « retour vers le passé », la consécration d’une suprématie de la « bagnole ». Nous sommes vraiment dans le monde d’hier et pas de demain.
Les critiques, notamment juridiques, ont déjà été faites : stérilisation des sols, suppression d’espaces verts…
Même si l’on admettait, ce qui n’est pas le cas de l’immense majorité des habitants et usagers concernés, que les perspectives économiques à très court terme l’emportent sur l’intérêt général que sont censés défendre nos élus, l’argument, ainsi que le font valoir d’autres interventions, est irrecevable.
Dans bien d’autres hypothèses très proches, le juge administratif garant des équilibres entre projets urbains et garanties des droits, a estimé, selon une formule consacrée, que le bilan coût avantages n’était pas justifié.
Est-il établi qu’un tel projet, qui ne manquerait pas d’être contesté, justifierait de longues, et couteuses procédures ?
La raison, la logique impliquent que d’autres types d’aménagement s’imposent si l’on suppose qu’il existe un intérêt général local que la Métropole représente.
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