Mobilité : Projet Jonction Est
Un maillon fort des déplacements dans l’Est de la Métropole
Bonjour,
ce projet est contraire à plusieurs "leviers impératifs" de la SNBC (https://www.ecologie.gouv.fr/strategie-nationale-bas-carbone-snbc) qui est la feuille de route de la France pour lutter contre le changement climatique et qui définit une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre jusqu’à 2050. Elle a deux ambitions : atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 et réduire l’empreinte carbone de la consommation des Français. Les décideurs publics, à l’échelle nationale comme territoriale, doivent la prendre en compte.
Or, ce projet,
en supprimant des terres arables proches d'un grand centre de vie,
en n'incitant pas au "report modal",
en n'accompagnant pas le développement du transport collectif,
en n'encourageant pas à "la maîtrise de la hausse de la demande de transport",
en ne fournissant pas un "bilan carbone global" comme préconisé par la SNBC,
en ne proposant aucune "initiative innovante",
est clairement en dehors des besoins exprimés par la feuille de route SNBC.
Il est à noter que nous sommes à fin 2021 déjà 5% au dessus de la feuille de route établie en 2015 qui demandait à ce qu'on baisse de 2% / an seulement. On est loin de l'objectif annoncé et répété.
En conséquence, il devrait être sinon abandonné (territoires fertiles et cultivés supprimés !) au mieux restreint à la seule mobilité douce (vélos, piétons, etc.) et aux seuls transports en commun.
En espérant que la cohérence gagnera face au double discours mortifère du "en même temps",
Cordialement
ce projet est contraire à plusieurs "leviers impératifs" de la SNBC (https://www.ecologie.gouv.fr/strategie-nationale-bas-carbone-snbc) qui est la feuille de route de la France pour lutter contre le changement climatique et qui définit une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre jusqu’à 2050. Elle a deux ambitions : atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 et réduire l’empreinte carbone de la consommation des Français. Les décideurs publics, à l’échelle nationale comme territoriale, doivent la prendre en compte.
Or, ce projet,
en supprimant des terres arables proches d'un grand centre de vie,
en n'incitant pas au "report modal",
en n'accompagnant pas le développement du transport collectif,
en n'encourageant pas à "la maîtrise de la hausse de la demande de transport",
en ne fournissant pas un "bilan carbone global" comme préconisé par la SNBC,
en ne proposant aucune "initiative innovante",
est clairement en dehors des besoins exprimés par la feuille de route SNBC.
Il est à noter que nous sommes à fin 2021 déjà 5% au dessus de la feuille de route établie en 2015 qui demandait à ce qu'on baisse de 2% / an seulement. On est loin de l'objectif annoncé et répété.
En conséquence, il devrait être sinon abandonné (territoires fertiles et cultivés supprimés !) au mieux restreint à la seule mobilité douce (vélos, piétons, etc.) et aux seuls transports en commun.
En espérant que la cohérence gagnera face au double discours mortifère du "en même temps",
Cordialement
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