Mobilité : Projet Jonction Est
Un maillon fort des déplacements dans l’Est de la Métropole
Il n'y a pas de petits gestes, pour lutter contre le changement climatique
Avec l'évidence du changement climatique, il est temps de mettre au placard les projets du monde d'avant. Cette "Jonction Est" en fait parti (tous comme le BUCSM).
Les objectifs affichés par Toulouse Métropole de donner plus de place aux modes de transports actifs (marche, vélo, transport en commun) sont dans l'air du temps et montrent leur pertinence dans un grand nombre de villes, comme Rennes, Bruxelles, Paris et Bogota, pour avoir un échantillon de villes de tailles différentes ;-)
La création de nouvelle route n'est plus au goût du jour. Le Pays de Galles a décidé l'an dernier de ne plus construire de nouvelles routes. L'objectif est de pouvoir atteindre les objectifs de réduction de l'empreinte carbone du pays.
Toulouse a aussi un objectif de réduction de cette empreinte carbone. Pour l'instant, comme l'a indiqué le bilan du PCAET, Toulouse a beaucoup de retard. L'arrivée de nouvelles voies pour les automobiles va entrainer, comme cela est démontré dans la littérature et expérimenté sur le terrain, une augmentation du flux de véhicule (les USA ont de bons exemples sur le sujet) et donc une augmentation de l'empreinte carbone de Toulouse Métropole. La suppression de route entraine une "évaporation de véhicules" avec un transfert modal important (exemple de Rouen avec la fermeture d'un pont sur la Seine). Les budgets prévus pour cette bretelle doivent, de ce fait, être réorientés vers des actions utiles : accélération de la mise en place des REV, participation à la mise en place du RER Toulousain, avec le "ticket unique", et bien d'autres projets sur les modes actifs.
Merci de ne pas dépenser "mon" argent public sur ce projet.
Les objectifs affichés par Toulouse Métropole de donner plus de place aux modes de transports actifs (marche, vélo, transport en commun) sont dans l'air du temps et montrent leur pertinence dans un grand nombre de villes, comme Rennes, Bruxelles, Paris et Bogota, pour avoir un échantillon de villes de tailles différentes ;-)
La création de nouvelle route n'est plus au goût du jour. Le Pays de Galles a décidé l'an dernier de ne plus construire de nouvelles routes. L'objectif est de pouvoir atteindre les objectifs de réduction de l'empreinte carbone du pays.
Toulouse a aussi un objectif de réduction de cette empreinte carbone. Pour l'instant, comme l'a indiqué le bilan du PCAET, Toulouse a beaucoup de retard. L'arrivée de nouvelles voies pour les automobiles va entrainer, comme cela est démontré dans la littérature et expérimenté sur le terrain, une augmentation du flux de véhicule (les USA ont de bons exemples sur le sujet) et donc une augmentation de l'empreinte carbone de Toulouse Métropole. La suppression de route entraine une "évaporation de véhicules" avec un transfert modal important (exemple de Rouen avec la fermeture d'un pont sur la Seine). Les budgets prévus pour cette bretelle doivent, de ce fait, être réorientés vers des actions utiles : accélération de la mise en place des REV, participation à la mise en place du RER Toulousain, avec le "ticket unique", et bien d'autres projets sur les modes actifs.
Merci de ne pas dépenser "mon" argent public sur ce projet.
Signaler un contenu inapproprié
Ce contenu est-il inapproprié ?
Partager: