Ensemble, réduisons nos déchets !
Elaboration du programme de réduction des déchets de Toulouse Métropole 2025-2030
Changer De Façon De Faire !
Je suis cycliste en vélo électrique et j'ai profité d'une prime, et puis je profite de nombreuses pistes cyclables.
Je composte mes déchets verts et alimentaires et j'ai eu un composteur gratuit.
Je n'ai pas d'animal de compagnie donc pas de déjections animales et pas d'usage de sacs à caca.
Je vis dans un appartement de 58 m2 dans un immeuble des années 1950, une rénovation future est en cours.
Je travaille dans le digital et un ordinateur est obsolète au bout de 3 ans. Personnellement, je n'achète que du reconditionné.
Tout cela pour illustrer que chacun de nous avons des points de vue différents et fluctuants.
Pour moi la règle est simple, le meilleur déchet est celui qui n'existe pas.
Donc, il est essentiel de travailler sur la réelle diminution des emballages. Cela demande un effort des industriels et pas que des usagers.
La mise en place d'une consigne, va me rappeler des souvenirs d'enfance.
Ensuite, la réparabilité des objets est à mettre en relation avec l'obsolescence programmée de nos appareils électriques. Je suis très favorable à une prime de réparabilité.
Pour les déchets verts, toutes vos propositions de solutions sont bien gentilles, mais accès tout sur le broyage chez soi en sachant que les broyeurs seront en nombre insuffisants, cela va provoquer des files d'attentes et de la frustration. Et je ne vous parle même pas du chant des broyeurs qui vont faire fuir nos oiseaux. Ne faudrait-il pas s'orienter vers une collecte très ciblée des déchets verts pour ensuite faire travailler une ou plusieurs TPE pour réaliser le broyage et ensuite redistribuer ce brun dans les zones où des composteurs sont présents.
Un dernier mot, il faut se sentir concerner et pour cela il faut comprendre d'où on part et où on va. Il faut changer et se changer pour être à l'écoute de l'autre et participer un tout petit peu au mieux être.
Je composte mes déchets verts et alimentaires et j'ai eu un composteur gratuit.
Je n'ai pas d'animal de compagnie donc pas de déjections animales et pas d'usage de sacs à caca.
Je vis dans un appartement de 58 m2 dans un immeuble des années 1950, une rénovation future est en cours.
Je travaille dans le digital et un ordinateur est obsolète au bout de 3 ans. Personnellement, je n'achète que du reconditionné.
Tout cela pour illustrer que chacun de nous avons des points de vue différents et fluctuants.
Pour moi la règle est simple, le meilleur déchet est celui qui n'existe pas.
Donc, il est essentiel de travailler sur la réelle diminution des emballages. Cela demande un effort des industriels et pas que des usagers.
La mise en place d'une consigne, va me rappeler des souvenirs d'enfance.
Ensuite, la réparabilité des objets est à mettre en relation avec l'obsolescence programmée de nos appareils électriques. Je suis très favorable à une prime de réparabilité.
Pour les déchets verts, toutes vos propositions de solutions sont bien gentilles, mais accès tout sur le broyage chez soi en sachant que les broyeurs seront en nombre insuffisants, cela va provoquer des files d'attentes et de la frustration. Et je ne vous parle même pas du chant des broyeurs qui vont faire fuir nos oiseaux. Ne faudrait-il pas s'orienter vers une collecte très ciblée des déchets verts pour ensuite faire travailler une ou plusieurs TPE pour réaliser le broyage et ensuite redistribuer ce brun dans les zones où des composteurs sont présents.
Un dernier mot, il faut se sentir concerner et pour cela il faut comprendre d'où on part et où on va. Il faut changer et se changer pour être à l'écoute de l'autre et participer un tout petit peu au mieux être.
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