Concertation autour du Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur du Site Patrimonial Remarquable
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Mettre en valeur les vestiges de l'ancien couvent des Cordeliers
Créer un jardin des vestiges de l'ancienne église, propriété municipale, sous forme d'un micro jardin de proximité d'arbres en pots et de jardinières, ouvert sur la rue du Collège de Foix. Y retracer l'histoire de l'implantation des Cordeliers, de l'organisation et de l'architecture de l'ancien couvent. Préfigurer une mise en valeur plus large en associant la Société BELIN, qui a magnifiquement restauré l'ancienne grande sacristie (régulièrement ouverte pour des expositions) et, par l'ancienne petite sacristie, en ouvrant un accès à l'ancienne salle capitulaire, propriété de l'Etat non occupée.
Aux côtés des Jacobins et des Augustins, qui conservent un grand nombre d'oeuvres provenant des Cordeliers (gargouilles, extraordinaires statues de l'ancienne chapelle de Rieux, tableaux etc), le site pourrait être ouvert au public sous conditions, avec à terme un cheminement patrimonial entre les rues des Lois et du Collège de Foix. Il y aurait ainsi un ensemble d'architecture monastique urbaine sans équivalent dans les autres grandes villes de France. La Ville n'étant propriétaire que d'une partie du sol de l'ancienne église, dont la valorisation pourrait constituer une première étape, un tel projet suppose un partenariat étroit public/privé.
Et, soyons fous, la Banque de France pourrait un jour consentir à céder ou mettre à disposition de la Ville une partie de son jardin, dont le sol est classé Monument Historique vu qu'il occupe l'emplacement de l'ancien cloître.
Aux côtés des Jacobins et des Augustins, qui conservent un grand nombre d'oeuvres provenant des Cordeliers (gargouilles, extraordinaires statues de l'ancienne chapelle de Rieux, tableaux etc), le site pourrait être ouvert au public sous conditions, avec à terme un cheminement patrimonial entre les rues des Lois et du Collège de Foix. Il y aurait ainsi un ensemble d'architecture monastique urbaine sans équivalent dans les autres grandes villes de France. La Ville n'étant propriétaire que d'une partie du sol de l'ancienne église, dont la valorisation pourrait constituer une première étape, un tel projet suppose un partenariat étroit public/privé.
Et, soyons fous, la Banque de France pourrait un jour consentir à céder ou mettre à disposition de la Ville une partie de son jardin, dont le sol est classé Monument Historique vu qu'il occupe l'emplacement de l'ancien cloître.
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