Projet de nouvelle liaison dédiée aux modes actifs : passerelle sur l’Hers et tunnel sous l’A61

Concertation publique concernant la commune de Toulouse (quartiers Malepère, Montaudran et Lespinet)

Étape 2 sur 2
Bilan de la concertation 01/09/2023 - 31/12/2023
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Changements sur "Pour une vraie séparation piétons/cycles (séparation avec obstacle physique)"

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  • +["Comme séparation piétons/cycles, le projet ne prévoit aucune différence altimétrique, ni sous la trémie, ni sur la passerelle. Une simple ligne podotactyle est supposée réserver la place du supposé \"trottoir\".\n\nDans ce genre de cas, il y a toujours lutte pour l'espace, et elle est évidemment gagnée par le plus fort, à savoir le cycliste.\n\nNous savons que la capacité de revendication des associations cyclistes est sans limites : ils veulent pouvoir rouler à deux de front, pouvoir se doubler, et même en arrivent à réclamer un double réseau cyclable, un pour les cyclistes rapides, l'autre pour les débutants.\n\nDans ce contexte, il est certain que les supposés trottoirs ne manqueront pas de faire l'objet de tentatives d'appropriation, d'autant qu'on lit déjà, ,jusque dans la présentation du projet, que la largeur prévue pour la piste cyclable est restreinte. La présentation du projet présente des sortes d'excuses pour le fait ce que la piste cyclable ne fasse pas six mètres de large, largeur qui, supposément, devrait est celle d'un réseau express vélo (qui en a décidé ainsi ?).\n\nBref, les envahisseurs de trottoir se voient reconnaitre d'avance toute la compréhension possible.\n\nJe rappelle que la Métropole est supposée obéir à une norme interne dite PICTA (PIétons Cycles Transports Automobiles) qui classe les usagers par ordre de vulnérabilité décroissant, place pour ce faire les piétons avant les cycles, et enjoint de réserver d'abord l'espace des plus vulnérables."]
  • +["Comme séparation piétons/cycles, le projet ne prévoit aucune différence altimétrique, ni sous la trémie, ni sur la passerelle. Une simple ligne podotactyle est supposée réserver la place du supposé \"trottoir\".\n\nDans ce genre de cas, il y a toujours lutte pour l'espace, et elle est évidemment gagnée par le plus fort, à savoir le cycliste.\n\nNous savons que la capacité de revendication des associations cyclistes est sans limites : ils veulent pouvoir rouler à deux de front, pouvoir se doubler, et même en arrivent à réclamer un double réseau cyclable, un pour les cyclistes rapides, l'autre pour les débutants.\n\nDans ce contexte, il est certain que les supposés trottoirs ne manqueront pas de faire l'objet de tentatives d'appropriation, d'autant qu'on lit déjà, ,jusque dans la présentation du projet, que la largeur prévue pour la piste cyclable est restreinte. La présentation du projet présente des sortes d'excuses pour le fait ce que la piste cyclable ne fasse pas six mètres de large, largeur qui, supposément, devrait est celle d'un réseau express vélo (qui en a décidé ainsi ?).\n\nBref, les envahisseurs de trottoir se voient reconnaitre d'avance toute la compréhension possible.\n\nJe rappelle que la Métropole est supposée obéir à une norme interne dite PICTA (PIétons Cycles Transports Automobiles) qui classe les usagers par ordre de vulnérabilité décroissant, place pour ce faire les piétons avant les cycles, et enjoint de réserver d'abord l'espace des plus vulnérables."]
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  • +["Comme séparation piétons/cycles, le projet ne prévoit aucune différence altimétrique, ni sous la trémie, ni sur la passerelle. Une simple ligne podotactyle est supposée réserver la place du supposé \"trottoir\".\n\nDans ce genre de cas, il y a toujours lutte pour l'espace, et elle est évidemment gagnée par le plus fort, à savoir le cycliste.\n\nNous savons que la capacité de revendication des associations cyclistes est sans limites : ils veulent pouvoir rouler à deux de front, pouvoir se doubler, et même en arrivent à réclamer un double réseau cyclable, un pour les cyclistes rapides, l'autre pour les débutants.\n\nDans ce contexte, il est certain que les supposés trottoirs ne manqueront pas de faire l'objet de tentatives d'appropriation, d'autant qu'on lit déjà, ,jusque dans la présentation du projet, que la largeur prévue pour la piste cyclable est restreinte. La présentation du projet présente des sortes d'excuses pour le fait ce que la piste cyclable ne fasse pas six mètres de large, largeur qui, supposément, devrait est celle d'un réseau express vélo (qui en a décidé ainsi ?).\n\nBref, les envahisseurs de trottoir se voient reconnaitre d'avance toute la compréhension possible.\n\nJe rappelle que la Métropole est supposée obéir à une norme interne dite PICTA (PIétons Cycles Transports Automobiles) qui classe les usagers par ordre de vulnérabilité décroissant, place pour ce faire les piétons avant les cycles, et enjoint de réserver d'abord l'espace des plus vulnérables."]
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  • +["Comme séparation piétons/cycles, le projet ne prévoit aucune différence altimétrique, ni sous la trémie, ni sur la passerelle. Une simple ligne podotactyle est supposée réserver la place du supposé \"trottoir\".\n\nDans ce genre de cas, il y a toujours lutte pour l'espace, et elle est évidemment gagnée par le plus fort, à savoir le cycliste.\n\nNous savons que la capacité de revendication des associations cyclistes est sans limites : ils veulent pouvoir rouler à deux de front, pouvoir se doubler, et même en arrivent à réclamer un double réseau cyclable, un pour les cyclistes rapides, l'autre pour les débutants.\n\nDans ce contexte, il est certain que les supposés trottoirs ne manqueront pas de faire l'objet de tentatives d'appropriation, d'autant qu'on lit déjà, ,jusque dans la présentation du projet, que la largeur prévue pour la piste cyclable est restreinte. La présentation du projet présente des sortes d'excuses pour le fait ce que la piste cyclable ne fasse pas six mètres de large, largeur qui, supposément, devrait est celle d'un réseau express vélo (qui en a décidé ainsi ?).\n\nBref, les envahisseurs de trottoir se voient reconnaitre d'avance toute la compréhension possible.\n\nJe rappelle que la Métropole est supposée obéir à une norme interne dite PICTA (PIétons Cycles Transports Automobiles) qui classe les usagers par ordre de vulnérabilité décroissant, place pour ce faire les piétons avant les cycles, et enjoint de réserver d'abord l'espace des plus vulnérables."]
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Auteur de la version
Avatar: Nymeria Nymeria
Version créée le 24/07/2023 11:12

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