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Étape 3 sur 4

Chapitre 3 – Concertation préalable réglementaire à la création de la ZAC 14/10/2024 - 14/12/2024

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Changements sur "Un quartier à taille humaine - modification du PLUiH "

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+{"fr"=>"Un quartier à taille humaine - modification du PLUiH "}

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+["Nous voulons participer activement au suivi du projet\nNous ne sommes pas opposés à un projet urbain cohérent avec des hauteurs plus importantes, mais il faudrait respecter quelques règles énoncées ci-dessous (1ère requête).\n\n1ère > REQUÊTE : Garantir la conservation du caractère humain => il faut modifier le PLUih \nEtant donné la volonté de maintenir le caractère de « quartier », il est indispensable d’en assurer la préservation et son maintien dans le temps futur - dixit document de concertation.\n\nA - sur nos propriétés revenir à une hauteur maximale de 6 m.\n\nB - Sur les parties qui nous entourent créer des zones tampons paysagères d’au moins 40m de profondeur où la hauteur maximale des bâtiments sera de 6 m avec une hauteur en mitoyenneté de 3.50 m maxi. Et une hauteur suivant la règle H=L (hauteur bâtiment = distance implantation à partir de la limite de propriété) \n\nC -Les surfaces de nos propriétés et celles des zones tampon sont soumises aux règles exposées ci-dessus et sont également applicables pour les « zones artisanales » du quartier « rocade ». \nPour ancrer ces éléments sur toute la surface du projet, il est indispensable de les introduire dans le PLUi-H afin qu’ils soient opposables aux promoteurs.\n\n2ème REQUÊTE : Diminuer la population envisagée.\nQuand on redéfinit un projet, il ne faut pas essayer de faire tenir dans une boîte plus petite tout ce qu’on voulait mettre dans la très grande boîte. \nEn l’occurrence il faut plutôt baisser la densité car la surface que l’on pouvait dédier à la construction était beaucoup plus importante dans la partie nord du projet. Sous prétexte d’habiller le projet de parc il ne faudrait pas dénaturer le projet à « taille humaine » \nUn ratio de 9 000 habitants pour 4 000 logements : c’est trop gros pour être absorbé par le quartier sans dénaturer les intentions durables, viables et humaines déjà identifiées et revendiquées. D’autant plus que le ratio atteindra plutôt les 18 à 20.000 habitants.\nIl faut baisser la densité à venir\nTirons des enseignements des opérations passées et ne répondant pas aux critères annoncés : Borderouge Nord, ancien site SCT (rue Edmond Rostand), Grand Selve, Malepeyre, La cartoucherie etc… La seule opération valable dont il faudrait s’inspirer c’est celle de Borderouge sud avec la Maourine. \n\nle Bocage Autrement a raison lorsqu'il dit que ces problèmes de logements doivent être réfléchis au niveau régional et non pas au coup par coup sans envergure et sans résultats conséquents\n\n3ème REQUÊTE : suivre les autres problématiques à résoudre\t\n\n-\tSOLAIRE : Les constructions nouvelles ne doivent pas occulter le soleil notamment pour les propriétaires de panneaux solaires \n-\tVOIRIE & CIRCULATIONN: il faut un réseau ultra performant et donc bien étudiés en amont. \n-\tLa sur-densification amène systématiquement des problèmes de voierie, de sécurité, d’encombrements voire de trafic de drogues. Nous ne voulons pas être une annexe de Borderouge nord ou des izards.\n-\t Le problème des PARKINGS pour les nouveaux habitants et les visiteurs \n-\tLes carrefours du BUN, côté rocade et côté collège, sont des fiascos énormes et dangereux et toujours pas résolus \nIl faudrait trouver des solutions avant de faire encore une fois les mêmes erreurs.\n\nGILBERT"]

+["Nous voulons participer activement au suivi du projet\nNous ne sommes pas opposés à un projet urbain cohérent avec des hauteurs plus importantes, mais il faudrait respecter quelques règles énoncées ci-dessous (1ère requête).\n\n1ère > REQUÊTE : Garantir la conservation du caractère humain => il faut modifier le PLUih \nEtant donné la volonté de maintenir le caractère de « quartier », il est indispensable d’en assurer la préservation et son maintien dans le temps futur - dixit document de concertation.\n\nA - sur nos propriétés revenir à une hauteur maximale de 6 m.\n\nB - Sur les parties qui nous entourent créer des zones tampons paysagères d’au moins 40m de profondeur où la hauteur maximale des bâtiments sera de 6 m avec une hauteur en mitoyenneté de 3.50 m maxi. Et une hauteur suivant la règle H=L (hauteur bâtiment = distance implantation à partir de la limite de propriété) \n\nC -Les surfaces de nos propriétés et celles des zones tampon sont soumises aux règles exposées ci-dessus et sont également applicables pour les « zones artisanales » du quartier « rocade ». \nPour ancrer ces éléments sur toute la surface du projet, il est indispensable de les introduire dans le PLUi-H afin qu’ils soient opposables aux promoteurs.\n\n2ème REQUÊTE : Diminuer la population envisagée.\nQuand on redéfinit un projet, il ne faut pas essayer de faire tenir dans une boîte plus petite tout ce qu’on voulait mettre dans la très grande boîte. \nEn l’occurrence il faut plutôt baisser la densité car la surface que l’on pouvait dédier à la construction était beaucoup plus importante dans la partie nord du projet. Sous prétexte d’habiller le projet de parc il ne faudrait pas dénaturer le projet à « taille humaine » \nUn ratio de 9 000 habitants pour 4 000 logements : c’est trop gros pour être absorbé par le quartier sans dénaturer les intentions durables, viables et humaines déjà identifiées et revendiquées. D’autant plus que le ratio atteindra plutôt les 18 à 20.000 habitants.\nIl faut baisser la densité à venir\nTirons des enseignements des opérations passées et ne répondant pas aux critères annoncés : Borderouge Nord, ancien site SCT (rue Edmond Rostand), Grand Selve, Malepeyre, La cartoucherie etc… La seule opération valable dont il faudrait s’inspirer c’est celle de Borderouge sud avec la Maourine. \n\nle Bocage Autrement a raison lorsqu'il dit que ces problèmes de logements doivent être réfléchis au niveau régional et non pas au coup par coup sans envergure et sans résultats conséquents\n\n3ème REQUÊTE : suivre les autres problématiques à résoudre\t\n\n-\tSOLAIRE : Les constructions nouvelles ne doivent pas occulter le soleil notamment pour les propriétaires de panneaux solaires \n-\tVOIRIE & CIRCULATIONN: il faut un réseau ultra performant et donc bien étudiés en amont. \n-\tLa sur-densification amène systématiquement des problèmes de voierie, de sécurité, d’encombrements voire de trafic de drogues. Nous ne voulons pas être une annexe de Borderouge nord ou des izards.\n-\t Le problème des PARKINGS pour les nouveaux habitants et les visiteurs \n-\tLes carrefours du BUN, côté rocade et côté collège, sont des fiascos énormes et dangereux et toujours pas résolus \nIl faudrait trouver des solutions avant de faire encore une fois les mêmes erreurs.\n\nGILBERT"]

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+["Nous voulons participer activement au suivi du projet\nNous ne sommes pas opposés à un projet urbain cohérent avec des hauteurs plus importantes, mais il faudrait respecter quelques règles énoncées ci-dessous (1ère requête).\n\n1ère > REQUÊTE : Garantir la conservation du caractère humain => il faut modifier le PLUih \nEtant donné la volonté de maintenir le caractère de « quartier », il est indispensable d’en assurer la préservation et son maintien dans le temps futur - dixit document de concertation.\n\nA - sur nos propriétés revenir à une hauteur maximale de 6 m.\n\nB - Sur les parties qui nous entourent créer des zones tampons paysagères d’au moins 40m de profondeur où la hauteur maximale des bâtiments sera de 6 m avec une hauteur en mitoyenneté de 3.50 m maxi. Et une hauteur suivant la règle H=L (hauteur bâtiment = distance implantation à partir de la limite de propriété) \n\nC -Les surfaces de nos propriétés et celles des zones tampon sont soumises aux règles exposées ci-dessus et sont également applicables pour les « zones artisanales » du quartier « rocade ». \nPour ancrer ces éléments sur toute la surface du projet, il est indispensable de les introduire dans le PLUi-H afin qu’ils soient opposables aux promoteurs.\n\n2ème REQUÊTE : Diminuer la population envisagée.\nQuand on redéfinit un projet, il ne faut pas essayer de faire tenir dans une boîte plus petite tout ce qu’on voulait mettre dans la très grande boîte. \nEn l’occurrence il faut plutôt baisser la densité car la surface que l’on pouvait dédier à la construction était beaucoup plus importante dans la partie nord du projet. Sous prétexte d’habiller le projet de parc il ne faudrait pas dénaturer le projet à « taille humaine » \nUn ratio de 9 000 habitants pour 4 000 logements : c’est trop gros pour être absorbé par le quartier sans dénaturer les intentions durables, viables et humaines déjà identifiées et revendiquées. D’autant plus que le ratio atteindra plutôt les 18 à 20.000 habitants.\nIl faut baisser la densité à venir\nTirons des enseignements des opérations passées et ne répondant pas aux critères annoncés : Borderouge Nord, ancien site SCT (rue Edmond Rostand), Grand Selve, Malepeyre, La cartoucherie etc… La seule opération valable dont il faudrait s’inspirer c’est celle de Borderouge sud avec la Maourine. \n\nle Bocage Autrement a raison lorsqu'il dit que ces problèmes de logements doivent être réfléchis au niveau régional et non pas au coup par coup sans envergure et sans résultats conséquents\n\n3ème REQUÊTE : suivre les autres problématiques à résoudre\t\n\n-\tSOLAIRE : Les constructions nouvelles ne doivent pas occulter le soleil notamment pour les propriétaires de panneaux solaires \n-\tVOIRIE & CIRCULATIONN: il faut un réseau ultra performant et donc bien étudiés en amont. \n-\tLa sur-densification amène systématiquement des problèmes de voierie, de sécurité, d’encombrements voire de trafic de drogues. Nous ne voulons pas être une annexe de Borderouge nord ou des izards.\n-\t Le problème des PARKINGS pour les nouveaux habitants et les visiteurs \n-\tLes carrefours du BUN, côté rocade et côté collège, sont des fiascos énormes et dangereux et toujours pas résolus \nIl faudrait trouver des solutions avant de faire encore une fois les mêmes erreurs.\n\nGILBERT"]

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+["Nous voulons participer activement au suivi du projet\nNous ne sommes pas opposés à un projet urbain cohérent avec des hauteurs plus importantes, mais il faudrait respecter quelques règles énoncées ci-dessous (1ère requête).\n\n1ère > REQUÊTE : Garantir la conservation du caractère humain => il faut modifier le PLUih \nEtant donné la volonté de maintenir le caractère de « quartier », il est indispensable d’en assurer la préservation et son maintien dans le temps futur - dixit document de concertation.\n\nA - sur nos propriétés revenir à une hauteur maximale de 6 m.\n\nB - Sur les parties qui nous entourent créer des zones tampons paysagères d’au moins 40m de profondeur où la hauteur maximale des bâtiments sera de 6 m avec une hauteur en mitoyenneté de 3.50 m maxi. Et une hauteur suivant la règle H=L (hauteur bâtiment = distance implantation à partir de la limite de propriété) \n\nC -Les surfaces de nos propriétés et celles des zones tampon sont soumises aux règles exposées ci-dessus et sont également applicables pour les « zones artisanales » du quartier « rocade ». \nPour ancrer ces éléments sur toute la surface du projet, il est indispensable de les introduire dans le PLUi-H afin qu’ils soient opposables aux promoteurs.\n\n2ème REQUÊTE : Diminuer la population envisagée.\nQuand on redéfinit un projet, il ne faut pas essayer de faire tenir dans une boîte plus petite tout ce qu’on voulait mettre dans la très grande boîte. \nEn l’occurrence il faut plutôt baisser la densité car la surface que l’on pouvait dédier à la construction était beaucoup plus importante dans la partie nord du projet. Sous prétexte d’habiller le projet de parc il ne faudrait pas dénaturer le projet à « taille humaine » \nUn ratio de 9 000 habitants pour 4 000 logements : c’est trop gros pour être absorbé par le quartier sans dénaturer les intentions durables, viables et humaines déjà identifiées et revendiquées. D’autant plus que le ratio atteindra plutôt les 18 à 20.000 habitants.\nIl faut baisser la densité à venir\nTirons des enseignements des opérations passées et ne répondant pas aux critères annoncés : Borderouge Nord, ancien site SCT (rue Edmond Rostand), Grand Selve, Malepeyre, La cartoucherie etc… La seule opération valable dont il faudrait s’inspirer c’est celle de Borderouge sud avec la Maourine. \n\nle Bocage Autrement a raison lorsqu'il dit que ces problèmes de logements doivent être réfléchis au niveau régional et non pas au coup par coup sans envergure et sans résultats conséquents\n\n3ème REQUÊTE : suivre les autres problématiques à résoudre\t\n\n-\tSOLAIRE : Les constructions nouvelles ne doivent pas occulter le soleil notamment pour les propriétaires de panneaux solaires \n-\tVOIRIE & CIRCULATIONN: il faut un réseau ultra performant et donc bien étudiés en amont. \n-\tLa sur-densification amène systématiquement des problèmes de voierie, de sécurité, d’encombrements voire de trafic de drogues. Nous ne voulons pas être une annexe de Borderouge nord ou des izards.\n-\t Le problème des PARKINGS pour les nouveaux habitants et les visiteurs \n-\tLes carrefours du BUN, côté rocade et côté collège, sont des fiascos énormes et dangereux et toujours pas résolus \nIl faudrait trouver des solutions avant de faire encore une fois les mêmes erreurs.\n\nGILBERT"]

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Auteur de la version

GILBERT

Version créée le 29/11/2024 12:45